mardi 20 décembre 2016

L'EAU GUERIT: UNE VERITE QUI DERANGE !

Jacques Benveniste a mis en évidence l'existence de la mémoire de l'eau dans les années 80. De chercheur renommé il est devenu un proscrit du monde scientifique... Curieux comportement d'un milieu qui en principe travaille de façon rigoureuse (ce que l'on appelle la méthode scientifique) mais qui choisit parfois la calomnie et l'arbitraire pour refuser le réalité de faits tangibles et s'attacher à discréditer un chercheur. J'appelle cela un «contexte galiléen».

Oui, il est vrai que Jacques Benveniste était sous contrat chez Boiron au moment de sa découverte, et cette découverte prouvait l'efficacité de l'homéopathie. D'où la suspicion des scientifiques,: comme s'ils considéraient que Benveniste se comportait exactement comme eux et truquait ses résultats... Mais tout le monde n'est pas à la botte de l'argent !
La plus élémentaire logique commandait de refaire les mêmes expériences que Benveniste pour, soit confirmer les résultats, soit les infirmer !
Mais l'acharnement subi par le chercheur et la mauvaise foi du monde scientifique prouvent que la découverte gênait tout le monde: il fallait dans l'urgence, gagner du temps, empêcher le progrès des connaissances et préserver .de gros intérêts financiers. Idiot en définitive, car la fameuse découverte n'en était pas une, d'autres personnes l'avaient déjà faite mais sans le savoir. Tôt ou tard elle devait ressortir !

Du côté des scientifiques on rechigne à remettre en question des principes jusque là «gravés dans le marbre», et il y a une certaine jalousie des uns envers les autres (un peu comme en politique) sur un terrain de course à la notoriété (malsaine) qui, chez certains, fait privilégier la recherche de contrats lucratifs avant l'intérêt de la science. Cette situation s'est d'ailleurs aggravée avec le désengagement progressif des Etats dans la recherche, et la nécessité pour les chercheurs de trouver des financements privés !
Du côté des lobbies on comprend facilement qu'aucun groupe mondial n'a envie de voir sa rente de situation réduite à rien après des millions et des millions d'investissements. On comprend, mais évidemment on ne peut pas accepter que les gras bénéfices de quelques actionnaires passent avant la santé des populations ! Il y a aussi de quoi s'énerver quand on sait que la plupart des chercheurs sont sous la houlette de financiers et qu'il en résulte une corruption de fait: personne ne contredit son employeur ni ne veut lui déplaire ! La recherche est ainsi pourrie par l'argent et surtout le progrès est bloqué, figé.

De nombreux chercheurs ont travaillé sur l'eau mettant en évidence des propriétés inattendues, dont beaucoup sont niées par les scientifiques en dépit des brevets déposés et des appareils en fonctionnement. Amusant de voir tourner des systèmes efficaces alors qu'ils sont contraires aux théories et principes généraux reconnus par la science !
On peut citer notamment Schauberger, Grander, Brown, Violet etc...
Il est vrai que souvent les découvertes sont le fait d'ingénieurs, et certains scientifiques «officiels» détestent que des personnes ayant fait des études courtes, des personnes qu'ils jugent de ce fait incompétentes et «inférieures à eux», soient des inventeurs ! L'argument devant les appareils performants est alors de dire c'est impossible, c'est truqué, c'est de l'arnaque. Pauvres arguments pour des scientifiques alors que l'utilisateur lui s'en fout, ça fonctionne et cela lui suffit !
Je donne souvent en exemple un fait que personne n'explique scientifiquement: en cuisine lorsque vous faites une crème anglaise, il faut prendre garde à ne pas trop chauffer la casserole car passé une certaine température le jaune d'oeuf coagule en grumeaux et la crème est ratée !
L'astuce des cuisiniers est d'ajouter une petite pincée de farine et la crème ne coagule plus même si on passe la température critique. Bien entendu il ne faut pas exagérer et laisser à grand feu sans remuer, mais personne n'est capable de dire en quoi le demi-gramme de farine empêche la coagulation de l'oeuf au delà de cette température normale de coagulation. Il y a ainsi dans tous les domaines des choses scientifiquement inexpliquées, mais ce n'est pas parce que personne ne comprend qu'il est interdit de s'en servir !
MEMOIRE DE L'EAU
Pour revenir à la mémoire de l'eau elle existe, c'est certain, et la preuve a été apportée par Grander qui a fait analyser de l'eau traitée par ondes électromagnétiques. La composition chimique n'est pas altérée mais c'est l'organisation des molécules qui est modifiée et cette nouvelle structure persiste. C'est dans ce sens que l'on parle de mémoire de l'eau: l'eau a gardé la mémoire de «forme» liée à l'action des ondes sur l'agencement des molécules entre elles. Cela dit, si vous mélangez cette eau traitée à de l'eau non traitée, l'eau non traitée prend exactement l'organisation moléculaire de l'eau traitée.
Schauberger a prouvé qu'un simple morceau de métal (qui met l'eau en rotation dans un entonnoir en cuivre) suffit à dépolluer une eau souillée. L'eau s'oxygène mieux en tourbillonnant et se régénère: c'est un fait, alors utilisons le !
Pour illustrer par un exemple autre, un traitement spécifique du plastique ou du métal confère au produit une mémoire de forme. S'il subit une déformation il revient à sa forme initiale. On a déjà vu cela dans la carrosserie de la Rodéo de Renault. C'est plus cher mais très bien pour le client! Mais plus personne n'achetait de pièces de rechange: on comprend pourquoi la marque a abandonné cela ! Cette mémoire de forme d'un solide permet par analogie de comprendre la mémoire de l'eau apportée par un traitement électromagnétique.

Le Professeur Luc Montagnier a repris les travaux de Benveniste et a expliqué le phénomène de mémoire par la création de zones de cohérence (sphères de molécules d'eau) qui enferment la trace électromagnétique d'un produit ayant séjourné dans l'eau, même si le produit a disparu du liquide. Là, on quitte la chimie moléculaire pour entrer dans la physique quantique .
Et dans l'usage thérapeutique de cette eau on obtient une réaction identique à l'action de la molécule de produit actif: le message présent dans l'eau agit dans l'organisme comme le ferait la molécule réelle. Il est donc facile à comprendre que traiter une eau par des ondes en lui imprimant une mémoire électromagnétique d'un produit traitant, est moins cher que de fabriquer une molécule.... C'est la fin du trou de la sécu !

Ce que le Professeur Montagnier ignore c'est que la mémoire de l'eau a été découverte à la sortie de la guerre par Violet, mais pas en tant que telle. En fait il a découvert par hasard les effets bénéfiques d'un traitement électromagnétique donnant des propriétés nouvelles à l'eau, et avec l'aide du gouvernement il a même fait des expériences officielles en agriculture puis dans un hôpital français ( Roubaix 1962) avec grand succès dans les deux cas.
Le seul bémol à la mémoire de l'eau est la durée de son action. Violet a constaté que cette mémoire disparaissait au bout de trois mois (dans le cadre de son traitement à lui). Il faudrait vérifier si un traitement comme celui de Grander par exemple se traduit par une mémoire plus longue ou pas.

Personnellement je tente de reproduire le traitement de Violet à partir se son brevet, mais le brevet ne dit pas tout et je pars un peu dans l'inconnu sur certaines pièces. Sans parler des tests à effectuer après traitement pour vérifier si les propriétés nouvelles conférées par le traitement électromagnétique sont bien présentes, comme elles l'étaient en 1962 (ce serait la preuve que j'ai bien réalisé les éléments non décrits dans le brevet).

Un autre procédé, antique celui-là , est fonctionnel et je le pratique, mais en l'absence de matériel pour faire des tests je ne peux rien dire. Il me reste à envoyer au Professeur Montagnier un peu de cette eau pour qu'il vérifie une action efficace ou non sur les virus et bactéries.... Mais honnêtement je pense que l'action doit être minime, et l'eau utilisable uniquement à titre préventif et non curatif.