jeudi 13 mars 2014

PERMIS POLITIQUE: JE SUIS POUR !


En voilà une affaire pour rien !
Les écoutes de l’ancien Président depuis un an ? On s’en fout !  Les dirigeants de l’exécutif harcelés par la Presse, sommés par l’opposition de démissionner,  accusés de mise en péril des règles fondamentales par les professions tenues au secret professionnel...., 
Quel Mic-Mac !
Et les ministres qui jurent qu’ils n’étaient pas au courant,  qu’on les accuse à tort....
Mais personne ne les croit ! On nous annonce même que les documents brandis par Taubira et photographiés pendant son discours ont été agrandis, lus, et qu’ils prouvent qu’elle ment !

Tous ceux qui prétendent cela sont des ânes. Moi je crois ce que me disent les Ministres quand ils affirment haut et fort  ( Intérieur et Justice ) qu’ils n’étaient pas au courant !  Ne me dites pas que c’est moi l’âne ! Mais sachez le, les autres  ministres sont dans le même cas :  au courant de rien !
En fait je les crois parce que cet aveu de leur part, qui entre parenthèses est tout à leur honneur,  prouve que j’ai raison:
Si les dirigeants ne sont pas mis au courant par leurs subordonnés c’est que le pays est en fait dirigé par les fonctionnaires qui font ce qu’ils veulent et estiment ne pas avoir de comptes à rendre à ces  élus en CDD qui ne connaissent rien à rien et sont incapables selon les fonctionnaires de faire le moindre travail efficace pour le pays .
On l’a vérifié pour le “Sang contaminé” aucun ministre n’était au courant !
Pour la canicule et les 15000 morts pas davantage ! Pour le “nuage de Tchernobyl” non plus ! On l’a vu à chaque tentative de modifier l’organisation des finances à Bercy ! Etc... Etc...
Sans arrêt les fonctionnaires prennent le dessus. Mais je ne dis pas qu’ils font mieux que les ministres car les exemples cités prouvent également qu’ils sont irresponsables !
Pour une fois que des ministres avouent publiquement leur ignorance , donc leur incapacité à agir, leur absence d’autorité et en définitive leur inutilité. Je trouve ingrat de les accabler . Il faut reconnaître l’évidence en tirer les conséquences et changer la gestion du Pays !
Il faut faire une révolution réorganisatrice qui supprime les élus et les dirigeants , et qui soumette les hauts fonctionnaires et cadres  au verdict des urnes au lieu de les laisser s’engraisser sur le dos des contribuables.
Sans exécutif ( comme les belges pendant de longs mois ), avec des fonctionnaires en CDD élus et responsables de leurs actes (même financièrement), et moins payés cela va de soi (je parle des cadres) on ferait un tout petit pas vers la démocratie efficace, avec d’importantes économies dans le budget de l’Etat !
Et le Président du Pays serait élu pour ne gérer que les affaires étrangères. 
On vérifie tous les jours que nos institutions sont en fait  une antenne locale d’application des décisions de Bruxelles, et que le peu qui reste de la compétence française aboutit à des aberrations législatives et des incohérences entre les textes:
Il y a donc urgence à” arrêter le massacre”.

Belle incohérence à plusieurs niveaux:
Devise du Pays “LIBERTÉ, EGALITÉ, FRATERNITÉ”
On enfonce le clou avec le mariage pour tous: désormais “nous sommes si égaux” entre français que chacun peut épouser indifféremment un homme ou une femme. Bientôt un animal peut-être, pourquoi pas ?
Le simple fait de voter ce texte prouve que la devise “EGALITÉ” n’était pas respectée, pourqoui instituer des règles que personne n’applique ? Pour les autres termes  de liberté et de fraternité, reconnaissez qu’eux aussi ne sont pas appliqués dans de nombreux domaines ! Alors pourquoi une telle devise? Pour faire “joli” à l’international ? Pour claironner “Notre devise est mieux que la vôtre Na Na Nère.... ! “
Plus nul que ça tu meurs !

Revenons à la Loi Mariage pour tous. Elle institue l’égalité parfaite entre les sexes puisqu’épouser une femme est la même chose qu’épouser un homme!  Vraiment nous sommes les champions de l’égalité. FEMME = HOMME . Il est même indiqué que désormais on n’inscrira plus  “Père” ou  “ Mère” dans les registres de l’Etat Civil, mais que l’on utilisera le terme “Parents” !
Notez quand même que la sécu reste une institution discriminatoire puique la pratique de différeciation Homme  ( N°1)Femme (N°2) continue chez elle... Et il est même question de faire comme dans d’autres pays en créant un N°3 .

Patatras malgré le mariage pour tous, on vote une loi qui institue de nouveau la discrimination, dans un domaine limité certes, mais discrimination quand même puisque là, d’un seul coup une Femme n’est plus l’égale d’un Homme !
Et ce domaine c’est la politique puisque clairement, là, une femme et un homme sont deux choses totalement différentes !  La preuve c’est que l’on exige la “parité”dans les listes électorales , signe qu’un homme et une femme ce n’est pas du tout la même chose !  Et où voyez vous  le 3ème sexe de la Sécu ? Encore une discrimination car bien que répertoriés par la Sécu, bien qu’ayant également le droit d’épouser n’importe qui, ils n’ont pas le droit d’être candidats au titre de leur différence sexuelle  !  
Discrimination quand tu nous tiens !

On interdit donc de fait la présentation de candidats dans les villages de gays et dans les villages de lesbiennes, et dans ceux de troisème sexe, parce qu’évidemment ils ne peuvent pas faire de listes à parité si l’égalité des sexes est niée ! 
C’est aussi une atteinte aux libertés car dans certaines communes les femmes ne veulent pas participer et on doit les forcer à le faire pour que la liste puisse exister. Parallèlement à cela des hommes volontaires sont évincés parce qu’ils ne sont pas des femmes, alors qu’en vertu de la Loi ils sont reconnus ( et par la devise, et par la loi sur le mariage) comme parfaitement interchangeables avec les femmes.
Incohérence quand tu nous tiens !

Pour les listes il était  facile de laisser s’inscrire des listes incomplètes: où était le mal ? Car en effet le vote se faisant à la proportionnelle chacun sait bien, et le législateur en particulier, qu’une liste est rarement élue intégralement si plusieurs listes sont en compétition: c’est même impossible! Certains voient dans cette obligation de listes complètes une manoeuvre de l'exécutif au profit des grands partis (le sien en particulier) . Car il est plus facile de faire des listes avec des militants de terrain notoirement plus nombreux que des indépendants dispersés. Le but: non pas mieux gérer les communes mais placer des électeurs en vue des prochaines sénatoriales !
Je constate que  les élus ne font pas leur travail correctement (absence de transparence  et  non respect de l’intérêt général dans l’élaboration des textes plus quelques autres règles de bon sens). Il serait plus intelligent de laisser la liberté de candidature sans parité obligatoire, et de faire signer un “engagement républicain” au moment du dépôt de candidature. Le non respect des règles de cet engagement en cours de mandature  rendant le coupable inéligible pour au moins 10 ans (sinon à vie) à la fin de son mandat. 
Au moins nous aurions pu faire le ménage  dans cette classe politique carriériste et non active,  sauf pour ses propres intérêts financiers . Et comme de nos jours il faut des diplomes pour tout, ou des permis, eh bien ce que j’appelle “l’engagement républicain” tiendrait lieu de permis de candidature pour les élus potentiels avec retrait possible en cas d’infraction !

Je reproduis ci-dessous l’engagement pris par mes co-listiers et moi-même dans le cadre des municipales. C’est très nouveau en politique mais pourquoi pas le pratiquer et surtout l’appliquer (au risque de subir les foudres d’opposants majoritaires qui préfèrent l’opacité )?  Il va de soi qu'un tel texte devrait être exposé en permanence dans chaque Mairie.

je soussigné(e).................................................................
Candidat(e) sur la liste “ .............”,
prend l’engagement, vis à vis des électeurs et de mes co-listiers, de respecter les règles de conduite qui sont l’essentiel du programme de la liste et ont pour but d’aboutir  :
- À La transparence sur tous les sujets, soit par une newsletter via internet soit par un bulletin périodique papier, soit par la presse  ou autre moyen ;
- À un vote efficace, par  des recherches préalables sur tous les sujets traités en conseil, quitte à consulter à l’extérieur,  notamment les personnes concernées, ceci systématiquement;
- À s’engager toujours selon un critère d’intérêt général puis à le vérifier à l’usage au moyen d’outils de contrôle ;
- À défendre au mieux les intérêts de la commune  dans les choix communautaires, sans pour autant s’opposer à l’intérêt général de la Communauté de Communes
Fait à .................., le ...............


jeudi 6 février 2014

ATTENTION J'VAIS M'ÉNERVER !


Quelle mouche pique le cerveau de nos élites ?
On dirait que l’organe est contaminé et que tout événement y parvenant ( lentement et difficilement la plupart du temps)  est filtré à travers le même moule logiciel, unique. On nous annonce alors  “la solution”, “le changement”, et invariablement c’est la même solution assortie de variantes...  Cette maladie touche tout le monde de gauche à droite, d’un extrême à l ’autre, en passant par le centre et les verts...

Tous sont obsédés par  de nécessaires efforts à demander aux travailleurs, il faudrait aménager, partager le temps, flexibiliser,  augmenter la productivité, jouer sur le coût de ce travail,.  Il est quand même aberrant de réduire le fonctionnement économique au seul travail !  
De grâce messieurs, le travail en tant que tel ne signifie rien ! En revanche on travaille toujours quelque chose, au moyen d’outils adaptés, en utilisant  une énergie, en un lieu dédié, le tout financé par du capital  ..... Non il y a bien d’autres facteurs que le travail à faire varier  pour agir sur l’économique !

On nous ressert une fois encore le “partage du travail” qui serait le remède-panacée contre le chômage ! 
Le raisonnement le voici: “La productivité aidant, la population augmentant, il n’y a plus assez de travail. Donc partageons le travail équitablement pour bien vivre tous ensemble et éviter qu’une partie de la population soit dans la précarité !”
Quelle erreur profonde  que de présenter cette analyse comme universelle ! 
Je rappelle qu’un tas de gens travaillent, ne serait-ce que dans les ONG et de multiples associations, et en tant que bénévoles. Ils sont d’accord de partager mais ils manquent de volontaires. Le travail ne manque pas ! Dans des métiers durs ou contraignants il y a plein de postes à pourvoir mais pas de candidats. Evidemment, certains métiers intéressants ont plus de candidats que de postes à pourvoir et cela génère du chômage !
Et dans les métiers où le travail existe, personne ne veut le partager car en fait ce n’est pas le travail qu’on demande de partager, mais le  Revenu du travail.... Grosse nuance qui échappe aux dirigeants !

Rappel d’une Anecdote qui remonte à l’époque des francs:
une entreprisee du morbihan a pris une initiative: son PDG a proposé aux employés d’embaucher 2 personnes de plus à condition que chacun accepte de baisser son salaire de 100,00F  par mois (aujourd’hui 15,00€ ).
Refus des employés.
Evidemment le PDG ne disait pas quel allait être le travail de ces deux personnes  Sans doute un partage du travail des140 employés, qui serait réparti entre 142 personnes.. SMIC de l’époque environ 7000,00€
La justification du refus est un peu tirée par les cheveux:
“il n’y a pas de raison qu’un employé baisse son salairee de 100,00F alors que le PDG ne fait pas d’effort supplémentaire vu son salaire”. Peut-être eût-il fallu parler de 1,5% par personne ???
Ce que ne précisait pas le PDG c’est que les 100,00F ne couvraient que le salaire Brut. L’entreprise  partageait le travail de 140 entre 142 donc baissait légèrement l’horaire des employés,  tout en réduisant sa marge bénéficiaire du montant  des cotisations patronales sur les deux nouveaux postes. 
Bon ! Les syndicats et les employés se sont prononcés, n’en parlons plus.

Cela prouve pour moi que partager le travail est perçu par les intéressés comme un partage non pas du travail mais du revenu ! Totalement différent et inacceptable pour le bas de l’échelle. Mais partager le travail sans toucher au revenu suscite beaucoup moins d’opposition

Quant au partage réel, en raisonnant à l’échellee d’un pays sur des millions d’heures, il se heurte à la dure réalité du terrain ! Ce n’est possible que dans les grandes entreprises et dans celles fonctionnant 24h/24. On peut alors  effectivement dégager du temps par réduction d’horaire. Mais la France n’est pas connue pour ses grandes entreprises et le bénéfice de la mesure est plus que limité. 
Mais si vous prenez la petite entreprise à 1 employé, passer de 39h à 35 h dégage 4h Et après:? Vous allez embaucher quelqu’un pour 4 h par semaine ? À condition de le trouver d’abord !  Non, la plupart du temps c’est le patron qui  fait le complément ou qui  augmente son salarié (heures sup.), ou qui réduit l’amplitude horaire pour l’ouverture de son magasin.
Nos  structures comme PSA sont en grande difficulté, d’autres ont délocalisé. Il est très difficile de réduire l’horaire de travail dans les services ( l’Etat s’en est rendu compte dans ses administrations) quant à la population elle refuse de voir ses revenus déjà fiscalement ponctionnés, diminuer encore en raison du “partage”.
On se demande d’ailleurs pourquoi les politiques ne partageraient pas: avec 2000 parlementaires au lieu de 1000 actuellement, on pourrait  diminuer le chômage de 1000 postes . Bien  entendu passer de 272800,00€ à  136400,00€ par an chagrine nos élites  qui préfèrent que ce soit la population qui partage !  Comme d’hab ! Faites ce que je dis, pas ce que je fais !
Refuser de voir la réalité du problème sur le terrain rend nos dirigeants complètement inefficaces et leur fait gaspiller les fonds publics venus de  la sur-taxation . La population subit à la fois cette ponction fiscale qui lui demande des sacrifices quotidiennement, et subit aussi le gaspillage dans des mesures inadaptées qui ne changent strictement rien! De plus cette population en réaction crée elle-même du chômage, sans  penser  à mal !

Je m’explique:
 pour éconmiser chacun y va de son idée et le plus facile est de sortir de l’économie officielle. On cherche à payer moins cher et on concurrence les taxis par du co-voiturage, on se reçoit entre amis pour éviter des frais de restaurant, on réclame des salles aux communes pour y organiser des activités évitant ainsi de faire travailler les professionnels du secteur (salles et animations). Les retraités organisent des bals dans des salles gratuites ( financées par les budgets municipaux), vendent directement les goûters aux danseurs, ne payent pas de TVA, quelquefois pas de Sacem et le bénéfice est net.  
Des bosseurs en retraite cultivent un bout de terrain et vendent à pas cher fruits et légumes, boissons etc... Sans déclaration aucune, ou bien les donnent, en échange de services divers ( c’est un peu le système du S.E.L. ou système d’échange local). Ce sont des façons de compenser la perte de revenus. Du coup les activités officielles qui elles sont taxées de partout ne peuvent pas lutter en matière de prix et sont en stagnation ou en baisse.... Donc n’embauchent pas. Un frein de plus à la reprise !
Ce sont les cotisants qui paient nos retraités actuels. Le bénéfice de ceux qui ne jouent pas le jeu en fuyant le secteur officiel finira par se retourner contre eux (ou leurs enfants) et faire sauter le régime par baisse provoquée et constante du nombre  des cotisants.  C’est une réaction logique à la baisse du pouvoir d’achat donc je ne condamne pas !

Partager le travail sans baisse de salaire ( malgré la baisse d’horaire) n’est pas pensable,  car les nouveaux postes feraient exploser la masse salariale générant une  hausse de prix énorme. Les salaires actuels ne permettraient pas d’y faire face et il y aurait une baisse générale du niveau de vie par baisse du pouvoir d’achat. La logique commande donc de relancer le pouvoir d’achat  sans toucher aux salaires afin d’obtenir une baisse des prix par la baisse des coûts non salariaux. Mais tout le monde s’en fout  surtout nos dirigeants.

Comme dit plus haut, je ne condamne pas le phénomène de fuite du monde économique officiel, même s’il est un frein de taille à la reprise. Car ce phénomène déjà en place depuis longtemps est appelé à se développer  et c’est lui qui nous permettra de passer en douceur d’un modèle économique à un autre. Il vaut donc mieux encourager ce phénomène plutôt que de s’acharner à défendre  un modèle obsolète et inadapté, d’autant que ce combat d’arrière garde est coûteux en gaspillage de fonds publics et en souffrance  quotidienne d’une majorité de la population. Même si  quelques individus radins pourraient s’abstenir de fuir le modèle officiel,  globalement les plus démunis n’ont pas le choix.

 Exemple récent, collectif, de baisse possible
Veronique Debue élue de Caumont sur Durance a agi pour sa population en souscrivant pour elle auprès d’une mutuelle (MGA Mutuelle Générle d’Avignon) et les tarifs ont baissé de 400 à 1700€ selon les cotisants par rapport à leurr ancienne mutuelle.

De telles initiatives vont dans le bon sens mais inévitablement les grandes sociétés “officielles” vont en pâtir. La transition des emplois se faisant vers les nouvelles structures créées ou renforcées
Cela dit il faut relativiser car les grosses sociétés à actionnariat étranger ( fonds de pension par exemple) n’ont pour seul but que de faire de la marge et distribuer de gros dividendes, c’est à dire  pratiquer des tarifs plus élevés. Que leurs employés les quittent (licenciement ou démission) pour passer dans une structure nationale ou locale ne nous pose donc pas de problème particulier.
Recréer une économie locale ou nationale qui baisse les coûts est possible, comme dans le cas de la mutuelle du vaucluse, en passant éventuellement par le canal associatif, à condition évidemment que les acteurs locaux ne cherchent pas à surfer sur la vague de cette mode pour s’enrichir.

Un exemple non associatif:
Un producteur de fraises (pas trop gros sinon il est handicapé par les volumes à écouler) qui vend ses fraises en pleine saison à 2,00€  à un distributeur, lequel les revend ensuite à 5,00€  le kg, peut très bien choisir la vente directe, par exemple à 4,50 voire à 4€ . Vouloir  vendre au même prix ou plus cher que le distributeur ( pour gagner le pactole, comme je l’ai entendu )  est un mauvais calcul .  En revanche à un prix raisonnable cela fonctionne ! Les invendus peuvent être transformés ( glaces, sorbets,  confitures, fruits confits, bonbons, gâteaux etc...) ce qui peut être créateur d’emplois, et il n’y a donc ni gaspillage ni perte. Un développement de ces pratiques générerait inévitablement une baisse des prix . Pour les clients, donc, pouvoir d’achat supplémentaire, et le producteur y trouverait son compte aussi.
De plus cela pourrait relancer le fonctionnement des halles dans les communes petites et moyennes  et relancer un petit commerce très créateur d’emplois.
Si les grands distributeurs avaient joué le jeu nous n’en serions pas là car ils ont confisqué de façon exagérée une partie du prix de vente en pratiquant des loyers très majorés, transférant artificiellement des bénéfices de l’entreprise commerciale à la poignée d’actionnaires de la société immobilière. Alors tant pis pour eux je ne pleurerai pas sur leur disparition !

Dans tous les secteurs d’activité des schémas voisins ou identiques sont possibles: dans le bâtiment , 
dans la banque et les assurances, 
si les élus en ont la volonté (  difficile à obtenir)  tous les réseaux et services en réseaux peuvent baisser : déchets, eau et assainissement, électricité, téléphone  

Faut-il rappeler que le cumul des bénéfices des entreprises du CAC 40 frise les 400 milliards. 
Cette somme représente à elle seule plus de 6000,00€  par français. Et il y a quand même des milliers d’entreprises en dehors de ces mastodontes de la bourse ! Je vous laisse imaginer le pouvoir d’achat gagné pour chaque habitant du pays, si chaque entreprise renonçait à 10% de son bénéfice. Rien que sur les bénéfices du CAC 40 on récupérerait 40 milliards soit plus de 600,00€ par français.

Et je m’oppose formellement à la taxation qui fait fuir les entreprises ailleurs !

Jouer sur le prix de l’energie et des carburants, vous le savez c’est mon dada !  Mais des solutions faciles et peu coûteuses peuvent faire baisser de plus de 10%  les fournitures pour tous, donc aussi pour les entreprises. Et si chaque entreprise d’une filière a ses coûts en baisse de 10% il est évident que les prix de détail baisseront ! 

Notre Pays dépense 163 milliards de plus que l’Allemagne pour faire fonctionner le Pays. J’ai personnellement identifié 50 milliards directement de la responsabilité de l’Etat. Et, par exemple, faire cesser le détournement annuel de 10 milliards dont est victime le trésor public .... Mais il faut investir 1 million ! Serait quand même le minimum. Ces sommes sont récupérées par des mafias qui se font rembourser de la TVA sur de fausses factures d’import-export.
On se demande si c’est le million d’Euros qui refroidit les dirigeants ou s’ils ne font rien en raison des grandes entreprises françaises impliquées (vu dans reportage télé sur la douane section financière) ?
Solutionner les aberrations publiques permettrait de réduire la fiscalité et de renforcer d’autant la compétitivité des entreprises, tout en donnant plus de pouvoir d’achat aux particuliers.

Je vais vous faire une confidence, à plus de 270000,00€ par an nos parlementaires sont un peu comme les footballeurs professionnels de l’équipe de France de 2010 . Trop payés, gavés d’argent  sans motivation autre que leur réelection ou des futilités. Ce n’est pas cela l’intérêt général merde !
C’est absolument  anormal que le petit microbe que je suis perçoive les solutions qui échappent à nos chefs !
Eh ! Vous entendez ce que je dis les mecs d’en haut ? C’est la France d’en bas qui vous  parle !

lundi 3 février 2014

GALOP D'ESSAI !


UN AN APRÈS LE SCANDALE DES LASAGNES AU CHEVAL, LA TRAÇABILITÉ DE LA VIANDE RESTE UN MIRAGE
Les hommes politiques (plusieurs ministres européens)  ont fait leur possible pour mettre en place un texte européen  sur la transparence et la traçabililité en matière de viande dans les plats préparés, mais ils se sont heurtés aux lobbies très actifs puisque la commission de Bruxelles  refuse la mesure sous prétexte de générer un surcoût très pénalisant pour l’industrie ( 0,7% en fait soit 0,015€ par barquette de lasagne).
Quand on cherche des prétextes .... On en trouve !

LE PARALLÈLE QUI TUE !  :
: DES ANNÉES APRÈS LA MISE EN PLACE D’UN FINANCEMENT PUBLIC DES CAMPAGNES, LE FINANCEMENT OCCULTE DES PARTIS POLITIQUES CONTINUE. 
Comme pour la viande : les politiques refusent d’interdire par une loi leurs propres magouilles  destinées à  récolter des sommes occultes pour le financement de leurs campagnes.
Pas fous les mecs et encore moins masos !
La différence c’est l’échelon . Nos politiques enragent de se voir bloqués par les lobbies européens qui font pression ( une pression sonnante et trébuchante, peut-être.... Une fois ???) sur la commission de Bruxelles et empêchent ainsi une transparence alimentaire souhaitée légitimement par les clients.
Mais à l’échelle de la France, vis à vis des électeurs français, nos propres élus bloquent les textes qui pourraient rendre transparent tout le fonctionnement politique. La différence entre les deux situations c’est qu’en France nos politiques sont à la fois l’institution qui décide et le lobby qui bloque !

L’ÉLU JUGE  ET  PARTIE : voilà le principal travers des démocraties représentatives, une situation qui a peu de chances de bouger malgré les efforts du député DE COURSON qui est quand même très modéré,  loin de proposer les mesures nécessaires (sa récente intervention télévisée, hier 2 Février, est à côté de la plaque), et  loin d’agir ! A-t-il seulement déposé une proposition de Loi ?
On pourrait faire une Vraie Démocratie moderne,  pour pas cher, juste quelques règles à voter ( répartition des tâches, des compétences de vote à définir un financement simple ) et l’utilisation de la technique. 
Mais nos budgétivores y laisseraient des plumes et tomberaient sans doute dans l’oubli ( leur ego nee supporterait pas !  On comprend qu’ils s’accrochent comme une bernique à son rocher (j’aurais pu dire comme un morpion à son hôte).
 On comprend l’immobilisme depuis des décennies .... Alors que l’argument pour décider les électeurs en 1958 était précisément la sortie du système des gouvernements kleenex de la IVème République, qui changeaient sans arrêt en raison d’une absence de majorité. 
Avec la Vème République, un Président élu au suffrage universel, ayant des pouvoirs étendus, avec des parlementaires élus au scrutin majoritaire à deux tours, une  majorité stable sortira des urnes et “vous allez voir ce que vous allez voir !Enfin nous pourrons travailler sérieusement !”
Effectivement les majorités stables ont défilé..... Mais on attend toujours le “travail sérieux”, je veux parler du vote des bons textes, ceux souhaités par tous.... Mais que nos lobbies (plus certains internationaux) réussissent à bloquer réellement ou à ralentir au maximum jusqu’à ce que la pression de l’opinion ( ou une révolution)  provoque un début de changement

L’homme tout court est un être curieux mais les élus sont le reflet de l’électorat.... Il y a des exceptions mais globalement c’est cela !
Il faudra donc attendre d’avoir un électorat exemplaire pour que la classe politique soit de qualité.... Malheureusement on prend le chemin inverse puisque la dégradation de notre enseignement, les carences de l’éducation (à la maison) génèrent des comportements assez hallucinants dans les nouvelles générations. Je n’apprendrai à personne que les incivilités progressent, que les promesses tenues et les engagements respectés sont quasi en voie de disparition. Même pour des choses anodines ! Qui respecte les règles même élémentaires ?. Très très peu de gens !  Cela casse la confiance et rend la vie quotidfienne de plus en plus difficile pour tous !
Ce n’est pas pour rien que notre système d’enseignement dégringole dans les classements internationaux, que notre “classement corruption”est lamentable au niveau mondial (vu dans l’émission de télé), bref la décadence est réelle et elle se trouve non pas dans les aspects techniques,économiques et financiers, mais bel et bien dans les comportements et le “mental” des populations. Je l’ai déjà écrit dans plusieurs articles antérieurs et je confirme ! 
Au laxisme général se joint un durcissement parallèle du monde économique, qui confine parfois au racket ( je persiste dans mon affirmation de “mafiosisation” de l’économie ). Les grandes entreprises violent ouvertement les lois et les décisions de Cassation et continuent à facturer des frais illégaux, à rédiger des contrats léonins et déséquilibrés.... Pourquoi s’en priver, personne ne proteste, ou n’engage de procédure pour quelques Euros, et avec tous les monopoles en place il n’y a pas d’autre possibilité d’acheter ou de s’abonner à un service.

Retour à LA VIANDE et on touche du doigt le détournement du Marketing ( de la recherche des besoins de la clientèle pour les satisfaire et gagner les marchés, on est passé au processus de comment utiliser les failles des clients pour leur vendre notre merde au prix maximum ). Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à chercher en premier lieu la marge, le bénéfice, l’argent facile, au détriment de l’adéquation du produit ou du service aux besoins de la clientèle (rappelon quand même que c’est cela qui a fait gagner de l’argent à beaucoup de sociétés). Quant à la qualité, c’est un peu l’arlésienne, on en parle beaucoup mais......
Les industriels de l’agro-alimentaire maquillent leurs cochnonneries en une fallacieuse composition, donnant par tous moyens l’image suggérée d’un bon produit afin de déclencher l’achat, mais sans nommer le produit (ce serait limite publicité mensongère) .Car c’est le client, abusé par les sous-entendus et l’image virtuelle, qui nomme lui même le produit, pas l’industriel qui est ainsi couvert ! 
Ce faisant on détruit petit à petit la notoriété de bons produits, régionaux ou artisanaux, que le public ne connaît qu’à travers de pâles imitations industrielles  et qui assimile les deux.... Donc rejette le bon lorqu’il en rencontre un,  soit parce que le goût le surprend, il n’est pas habitué, soit parce que déçu par l’industriel il ne veut pas payer cher pour ce qu’il prend pour une “merde” !  J’ai même vu un enfant manger des fraises fraîches en disant c’est moins bon que les fraises ( pour lui fraise c’est Tagada ).
Dans un tel contexte d’évolution économique ( là on arrive au bout ! ) inutile de dire que  la “privatisation-panacée” est une grande illusion, une utopie des élus (téléguidés en fait par les lobbies dont l’intérêt était la disparition du public à leur profit). Les rappels à l’ordre des “ex-publics” comme France Télécom, EDF GDF,  Compagnies des eaux, Banques, La Poste, Autoroutes etc..... Montrent que la privatisation fait des ravages et que l’idée même de service public disparaît au fur et à mesure que l’on introduit la notion de rentabilité.
Je ne suis pas un fan du public loin de là, mais il y a des domaines où un Etat ne devrait pas transiger. Il faut quelques structures essentielles qui restent publiques pour assurer à la population une base solide et stable en laquelle on peut avoir confiance. Je n’oublie pas les dérapages passés du public  ( par exemple pollution du rhone par le pyralene, ou truquage de certains jeux par la Française des Jeux sous l’appellation “erreur de logiciel”, ou les gaspillages de fonds publics par les banques).
Malgré tout on peut organiser ces structures, sans gestion directe de l’Etat (contrôle seulement),  pour gérer notamment le réseau routier, l’eau, les déchets, l’Energie, la santé en partie ... Ce qui n’exclut pas la concurrence du privé mais alors à lui de s’adapter au lieu de crier à la concurrence déloyale.
Je pense à des organisations “horizontales” et non “verticales” comme aujourd’hui, et des dirigeants élus et non nommés, responsables de leur gestion, cela casserait le carriérisme des fonctionnaires. Dans un contexte de liberté car ces services se concentreraient petit à petit sur le fondamental, la facilitation de l’indépendance et l’aide à la liberté de chacun. 
L’évolution, non encore perçue par la majorité et aussi bloquée par les lobbies, va en effet vers une individualisation et une gratuité, dans la mesure où les fournitures par réseaux et certains services sont aujourd’hui plus chers que  les sytèmes  locaux, voire individuels, en raison de progrès techniques. On touche là à l’eau, l’énergie et les carburants, l’élimination des déchets, partiellement la Santé et la communication. De quoi dégager pouvoir d’achat pour tous et penser à la “sortie de crise”.

Ces idées me trottent dans la tête, et je ne compte pas sur les politiques  pour les mettre en place au galop ! Car malheureusement s’ils avancent nos élus, c’est juste pour  parader, ou alors ils filent à un train de sénateur ;  souvent ils se cabrent, refusent l’obstacle ,  freinent des quatre fers ou  se montent aussi têtus qu’une mule !
Comment voulez vous qu’on arrive à des résultat avec de pareils canassons ? D’autant que le rut les travaille beaucoup et ils sont alors aussi ingérables qu’inefficaces !
Mais tout cela provoque un petit creux chez l’individu ! Alors je  suggère d’aller se restaurer, il y aura bien un petit endroit de l’assemblée ou du sénat où le chef findus leur permettra de se mettre un petit bout de l’étalon dans l’estomac !

jeudi 30 janvier 2014

JE DIS TRANSITION "ENER - MERDIQUE" !


Les signataires de l’appel sur le financement de la transition énergétique sont inquiets car il faudrait que les pouvoirs publics apportent 20 milliards SUPPLEMENTAIRES PAR AN !!!!  

En réalité pas besoin de tout cela !
Pour donner un ordre de grandeur dans les  calculs qui suivent je pars du principe qu’il y a environ 1 logement pour 4 habitants en France. J’arrondis donc à 16 millions de logements (en fait nous sommes 65 millions d’habitants et pas 64 ).
 Un programme d’équipement à 5000,00€ par logement (prix posé TTC) se conçoit avec une répartition 1000,00€ de fonds publics ( ou de réductions d’impôts ou autre système) et 4000,00€  d’apport personnel du propriétaire..
Le total à investir serait donc de 16 milliards par l’Etat et de 64 milliards par les bénéficiaires.
Voilà le coût réel d’une révolution énergétique permettant dans chaque logement une autonomie à 80%  (donc recours au réseau pour 20% maximum de la consommation actuelle). Cela c’est aujourd’hui et compte tenu des brevets existants disponibles sans frais ( dans le domaine public). J’étudie des systèmes encore moins chers qui nous permettraient pour moins de 64 milliards d’être autonomes à 100% .
Mais 80% de suite ce ne serait pas si mal !
Avec ce que j’appelle moi la fameuse Transition Ener-merdique à 20 milliards par an en plus des budgets déjà annoncés....“Y’a pas photo ! “  comme on dit !

Mais voilà !
Nos dirigeants sont si déconnectés du terrain, si occupés à leurs luttes intestines, si soucieux des sondages et de leur réélection, si loin de la réalité des brevets disponibles, si  téléguidés par leurs conseillers, et si orientés  vers les lobbies par les “experts- rabatteurs”payés par ces mêmes lobbies etc....
Que bien évidemment ce sont les solutions les plus chères (et les moins efficaces), déjà aux mains des groupes industriels et financiers, qui sont mises en avant ! Etant entendu que les politiques, habitués à la récolte de milliards “faciles” par une hausse minime en pourcentage de tel ou tel prélèvement,  sont convaincus du caractère illimité, infini , des flux financiers en provenance de la  vile populace ! Pour quoi se soucier du mieux vivre de ces gens, "z'ont qu'à payer !"

Bien entendu on peut m’opposer la chute d’EDF, la perte de TVA par l’Etat sur les 40 milliards réalisés en France par l’entreprise, la perte par l’Etat des 6 milliards de bénéfices (montant 2012), soit sous forme d’impôts sur les bénéfices, soit de dividendes ( l’Etat détient 85% du capital) .
La réponse est oui, mais en fait non ! Car l’évolution ne se ferait que progressivement et pas brutalement d’un jour à l’autre.
On n’équipe pas 16 millions de logements en claquant des doigts, et en plus avant de poser les installations il faut d’abord les fabriquer ( même si on a déjà quelques entreprises dans les secteurs concernés) puis les transporter .
Sur un étalement de 10 ans on assure une évolution en douceur. Le personnel EDF pouvant  passer dans ces nouvelles filières, ou passer dans celle du démantèlement du nucléaire... Pas de licenciements secs donc !
Pour la population un véritable facteur progrès car, à salaires inchangés, si on ne paie rien en dépenses énergétiques et de chauffage, on augmente son pouvoir d’achat et on peut faire tourner d’autant plus l’économie du pays.
L’Etat récupérant la TVA générée sur les installations (fabrication puis transport er pose) mais aussi sur la régulière croissance que génère un pouvoir d’achat augmenté, sans oublier la régression du chômage par création de centaines de milliers d’emplois, la régression des déficits ( sécu, retraites, Etat).... Et ne l’oublions pas en plus des logements il y a toutes les résidences secondaires, tous les locaux publics, toutes les entreprises et, cerise sur le gâteau, quand on est le premier sur un marché.... Eh bien on exporte !
Une sortie de crise par le haut, rapide et efficace.

Mais l’esprit de ceux qui nous gouvernent est incapable d’envisager une telle aventure... Nous sommes en France, c’est donc normal : comme d’habitude on attendra que d’autres se lancent  à notre place et regardent en rigolant notre “transition éner-merdique”, hors de prix et déjà techniquement obsolète avant même sa mise en route effective !

L’absence d’esprit collectif chez beaucoup d’individus et l’absence de sens de l’intérêt général chez les dirigeants politiques condamnent le Pays à globalement végéter mais, heureusement, les individus peuvent agir seuls et s’équiper après s’être renseignés . Ils y trouveornt leur compte très vite (retour sur investissement en un an ou moins selon les régions). L’effet “mouton de Panurge” et les gains financiers  avérés (pouvoir d'achat très augmenté) feront peut-être bouger les autres qui suivront ! 
Mais tout  se passera mal  car les politiques et EDF , pris de court, n’auront rien programmé .  Tant pis, que voulez-vous !  Et en plus ils nous toisent, nous prennent pour des ignares , et osent des dictons comme “Gouverner c’est Prévoir”. Pour des mecs palpant 250000,00€ et plus par an (voir “indemnités parlementaires” sur le site .gouv) c’est pas très fort !  mon commentaire à leur égard “Ha, ha, ha !”
Et de leur comportement intellectuel vis à vis des petits ( alors que l’avenir du pays selon eux m'attriste plutôt ), moi quasi-smicard  je me délecte Qu’y at-il de plus jouissif que d’être pris pour un con par de nombreux imbéciles ?


samedi 18 janvier 2014

EDF-ETAT= MÊME COMBAT ! SUIVI DE "LA VIE EN ROSE"


EDF a encore augmenté ses tarifs heures pleines de 11,90% et Heures creuses de 7,98% . Et on insiste pour  dire que parallèlement l’abonnenement a baissé de 17,86% ce qui montre  qu’EDF se fout royalement de votre gueule !
L’abonnement est fixe (et mensuel) et représente entre 5% et 10% de la facturatiion totale.  Autant dire que cette baisse est  totalement inaperçue puisque l’on joue sur moins de 5,00€ .
En revanche si vous consommez 2000 KW par facture en heures pleines, cela revient à vous en facturer 2238 ( à l’ancien tarif) c’est donc loin d’être neutre. D’autant que les taxes et contibutions diverses sont calculées sur la consommation et non sur l’abonnement. Il en résulte une hausse mécaniqie des taxes .Même si l’Etat a beau jeu de dire qu’il ne change pas les taux de taxation , il n’en demeure pas moins que le produit de l’impôt augmente puisque l’assiette augmente avec votre facturation.
Je vais encore me répéter mais comme l’Etat est majoritaire  (85% du capital d’EDF)  il gagne à chaque hausse des prix,  puisque le bénéfice de l’entreprise augmente et lui retomvbe dans la poche (soit en dividendes soit en impôt sur les sociétés).  L’air de rien il  augmente les recettes de taxes donc le budget de l’Etat: GENIAL , NON  !
Accessoirement cela fait bien rigoler d’observer, au deuxième degré, le jeu de rôles entre l’Etat (chevalier Blanc qui se bat pour protéger les pauvres consommateurs) et les dirigants d’EDF ( les méchants qui veulent pressurer les pauvres clients en augmentant et en réclamant sans cesse des hauses plus fortes, car l’électricité est quasiment vendue à perte : “oh les pauvres garçons “! ). Cela fait bien rigoler car les dirigeants d’EDF sont nommés par l’Etat qui avec 85% du capital et des voix dans les assemblées d’actionnaires fait “la pluie et le beau temps”dans l’entreprise !
Quand on sait que notre cher groupe EDF a fait 6 milliards de bénéfices en 2012 ( en gros 1000,00€ par Français) on hésite entre éclater de rire face à ces grosses ficelles étatiques, et se révolter du comportement inacceptable d’élus qui prennent leurs électeurs pour des cons !
Cela dit je vous fais une confidence:
La concurrence fait rage entre les opérateurs (de paille) du secteur de l’énergie, imposés par l’Europe, avec EDF protégée par l’Etat en dépit de la loi qui l’oblige  à vendre 25% de sa production nucléaire à ses concurrents. En matière de marché concurrentiel on a vu mieux !
Cela dit ces opérateurs font des promotions avec tarif bloqué pendant deux ans. Compte tenu des hausses programmées par EDF (on vient d’avoir 12% et on nous promet 30% à venir sans compter la facturatiçon des nouveaux compteurs...) je vais souscrire un tarif bloqué inférieur au tarif actuel EDF et il me faudra agir pendant ces deux ans de répit. Car si l’Europe est la plupart du temps un fléau en matière économique, une disposition  inscrite dans le marbre, nous permet aujourd’hui d’agir individuellement et de dire “merde” aux opérateurs du marché de l’énergie: c’est la décision qui a officiellement obligé les états à mettre en place la concurrence dans ce domaine. Les  ”ânes” politiques qui n’ont pas de notion du terrain ont pensé à de grandes structures mais pas du tout à l’initiative individuelle. Je peux vous dire que ce qui va se produire et ce qui va créer la prochaine révolution économique c’est l’auto production d’énergie. De même que l’informatique individuelle, moins chère que les coûteux systèmes en réseaux , a éliminé le time-sharing aux mains de très grosses entreprises (années 60 et 70), de même la production personnelle aujourd’hui proche du coût zéro (pour un investissement modeste) va  faire disparaître les énormes opérateurs actuels à plus ou moins brève échéance.
L’agriculture a  perdu ses effectifs au profit de l’industrie et on a connu l’exode rural, l’industrie, pan par pan, a évolué dans la douleur (charbon, sidérurgie, automobile etc...)
les services ont pris le pas sur l’industrie, et la révolution informatique et des communications a bouleversé notre pausage du XXIème siècle. L’évolution énergétique vers une système peu coûteux  et non vulnérable (physiquement parlant en cas de conflit armé) est une évidence que les acteurs en place retardent au maximum, avec la complicité des politiques ! 
Bref !
L’énergie étant rendue à un coût inacceptable, coût majoré de façon intolérable par une taxation de plus de 30%, s’équiper en production autonome est un impératif pour souffler un peu et retrouver du pouvoir d’achat.
Mes recherches personnelles en matière de production (ou d’économie, ce qui revient au même) me laissent penser qu’en deux ans j’ai le temps de faire baisser graduellement ma consommation “officielle” et augmenter ma production personnelle pour arriver (du moins je l’espère) à me débrancher définitivement du réseau. 
Les pistes magnétique, biologique plus les énergies traditionnelles (pour les amateurs) sans compter l’invention de G. Wiseman, dont je recommande la consultation, permettent d’envisager une habitation à énergie positive. Ne croyez pas que je plaisante, à l’heure où les terroristes bénéficient de générateurs à urine en plein désert ( pour mieux guider des missiles  ou gérer des ordinateurs), il est facile d’adapter cette technique à partir de l’urine des habitans de la maison .... Et que dire alors du lisier des porcheries !!!!!   Franchement, investir dans un EPR à 8,5 milliards est typique d’énarques coupés de la réalité, ou d’ actionnaires qui  essaient de sauver un racket et une rente à vie... EPR c’est économiquement inapproprié,  car à l’écidence non rentable face aux techniques  disponibles   (que personne ne veut envisager), qui plus est c’est une piste iinflationniste dans un marché de l’uranium en pleine pénurie de ressources avec des prix extravagants (5,00€ la tonne de minerai en 2003, 100,00€ la tonne aujourd’hui et jusqu’à 400,00€ de projection de prix entre 2015 et 2025 ! ).
Je regrette que  notre Etat  refuse  de voir la vérité en face et empêche le pays de sortir immédiatement de la crise : car accepter officiellement cette révolution énergétique et l’aider ,créerait des millions d’emplois immédiatement avec la création des filières concernées (équipement de tous les ménages et de toutes les entreprises, filières de fabrication, filières de pose, et filière de démantèlement des centrales) et nous serions les premiers au monde à le faire  (donc à exporter) au lieu d’attendre bêtement que d’autres le fassent avant nous !  J’ai écrit dans ce sens au Président Hollande et il m’a fait répondre qu’il  me remerciait de mes propos et qu’il en tiendrait compte... J’en tire la conclusion que vouloir le bien de son pays est illusoire,  alors tant pis pour les autres qui préfèrent payer là où je vais économiser au moins 3000,00€ par an ! Et tous ceux qui feront comme moi vont provoquer à terme la chute d’ EDF et de l’Etat (principal actionnaire).  Mais on ne peut pas obliger des élus à  agir dans l’intérêt général s’ils raisonnent et agissent uniquement dans leur intérêt personnel (réélection, position de leur parti dans le pays, maintien du modèle économique qui les finance de fait etc...).
Je rappelle les économies individuelles parfaitement connues, au point depuis de nombreuses années, et qu’il suffit de consulter sur internet ( mais il faut bien chercher tant les monopoles en place tentent de les cacher pour préserver  leur business): économie sur nourriture et conservation (gaspillage évité),  économie de médicaments (liée à l’économie précédente), économie d’achats d’objets théoriquement jetables ( on les rend gratuitement inusables) , économie de détergents (baisse de 80% environ), économie de carburant ( de 20 à 50%), économie de chauffage (eau sanitaire et chauffage des locaux), économie d’eau (environ 50% ), économie d’électricité (production individuelle, remplacement par énergie mécanique gratuite), économie de téléphone ( là c’est un peu limite légalement mais ça se défend) etc...
 Quand je parle de 3000,00€ c’est vraiment un minimum... Qui nécessite au plus 5000,00€  d’investissement si on veut tout, tout de suite... Mais on peut s’équiper progressivement !

À PART CE’LA TOUT VA BIEN  !
La première Dame  se trouve à l’hopital : déprime ou maladie ?
Déprime on peut comprendre,  vu le battage médiatique qui expose à un pays l’infortune  qui vous concerne !  Maladie, mais c’est alors une “maladie de l’égo” car un individu admet rarement qu’un fait banal lui arrive à lui: aux autres oui, mais à lui c’est anormal !
Que va faire Valérie ?  Ignorer les faits comme l’a fait Anne Sinclair dans l’affaire DSK-Sofitel,  se draper dans sa dignité de femme trompée et quitter l’Elysée avec pertes et fracas, ou bien s’effacer en douceur sans faire de vagues !
Je penche pour la troisième solution car elle n’a aucune légitimité.
D’abord il ne s’agit pas de la première Dame car, ne vous en déplaise, madame Valérie Tierweiler est l’épouse de Denis Trierweiler.Or, que je sache, Denis Trierweiler n’a rien qui justifie le titre de premier homme de France ! Du coup son épouse ne peut pas usurper ce titre ! En tant qu’époux officiel de Valérie c’est normalement à lui d’assumer les finances de  sa femme ( si elle éprouve des difficultés malgré son gros salaire)
Ensuite, on peut tout au plus parler de première maîtresse de France , dans la mesure où on reconnait à François Hollande le titre de premier homme de France ! 
Parenthèse: vous trouvez normal qu’un élu impose sa maîtresse au pays ? Moi pas !
Car dans la vie courante de tout homme  “normal”, celui-ci assume seul sa liaison, tout au plus l’impose-t-il financièrement à son épouse légitime (à l’insu de cette dernière évidemment). 
Enfin, j’avoue que je suis à quelques millions de dépenses publiques près en tant que contribuable ! Par conséquent il n’est absolument pas acceptable de facturer au contribuable les frais relatifs à une maîtresse du Président (d’autant qu’elle perçoit un gros salaire dans l’exercice de sa profession)! Remerciez le ciel de n’avoir pas un énergumèrne du type DSK au pouvoir, sinon quel défilé.... De  frais pour nous, sa nouille on s’en fout ! 
J’ajoute que la royale indemnité que perçoit Hollande lui permet aisément de faire face seul aux coûts de sa liaison. Celle-ci n’ayant rien à voir directement avec la gestion de l’Etat, elle n’a pas à figurer dans un budget officiel. Les politiques seraient-ils  “rapiats” au point  de considérer leurs indemnités comme un pourboire net ? Avec  les frais liés à leurs caprices personnels ( sexuels ou autres) à la charge de la collectivité ? En dépit de notre régime républicain je ne peux m’empêcher de constater un comportement de monarque !
Quant à cette chère Dame, comment accepter d’un coup et parce que son compagnon a été élu, que son salaire qui servait jusque là à payer son logement , sa nourriture, sa voiture, ses vêtements etc ... Devienne  du jour au lendemain une somme nette ( de l’argent de poche) parce que toutes les dépenses la concernant passent dans le budget de l’Etat ? Inacceptable !
D’abotd d’un point de vue logique, et ensuite d’un point de vue éthique. Un président élu par ses concitoyens au poste de chef, se doit de donner le bon exemple et de respecter une certaine déontologie. En tant que chef d’Etat, s’il choisit une compagne il doit assumer  ce choix en utilisant son indemnité de chef d’Etat pour financer les frais occasionnés par cette liaison. Il n’a pas été élu pour cela donc le pays n’a pas à prendre en compte de tels frais... Surtout avec la femme d’un autre (elle est toujours officiellement mariée) .
Vous allez me dire “oui mais le mariage pour tous a été voté”. Voilà le pourquoi de la chose : c’était pour permettre à François Hollande d’épouser Denis Trierweiler en même temps que Valérie. C’est autorisé puisque la définition de la bigamie fait référence au mariage d’une personne avec deux autres de même sexe . Ici il épouserait un homme et une femme donc pas de bigamie !
Pour revenir à notre Gourou, il a promis l’inversion des  courbes et il a tenu son engagement, la courbe de l’âge des maîtresses est  en constante baisse:
À 53 ans il a largué sa Ségolène qui en avait 54( après avoir donné un coup de canif dans le contrat puisque Anne Hidalgo s’est retrouvée maman, il est vrai qu’elle a 5 ans de moins que Ségolène) ; puis il a  récupéré V.Trierweiler, . âgée de 42 ans en 2007, lui-même  en ayant  53; puis, arrivé à 59 ans il choisit J. Gayet âgée de 41 ans... Au fur et à mesure que le Président vieillit il choisit des maîtresses de plus en plus jeunes.
La relation âge-âge n’est pas constante mais évolue dans le sens d’une baisse régulière. Des mathématiciens pourraient calculer précisément à partir des paramètres....! Disons que je prévois pour 2018 une nouvelle relation avec un rapport âge-âge qui serait 63-35, puis vers 2021 le rapport 66-30 après..... À ces âges on pense rajeunir alors sur une lubie pourquoi pas un 70-25 ?  Il est vrai que l’Etat qui budgète 1,5 million par an pour chaque ex président, aide un peu au confort de ces messieurs !
François Hollande peut avoir la certitude que son avenir sexuel sera rose, en matière politique il en sera tout autrement !















vendredi 3 janvier 2014

2014 ENFIN !

Je n'ai pas aimé du tout 2013 !  Une sorte de rejet du chiffre 13  ou de l'esthétique de 2013 ? Une ambiance mauvaise dans le pays ?  Un cafouillage encore pire que la normale à la tête du Pays (Et ce n'est vraiment pas bien pour un Président "Normal") ? Une appréhension de l'avenir avec l'accumulation des catastrophes naturelles et économiques ?
Sans doute un cocktail du tout !
 Ouf , c'est fini ... Donc vive 2014 !
Ce chiffre me va mieux, je ne sais pas pourquoi.  Je n'irai pas jusqu'à dire que je vois la vie en rose, ceux qui nous dirigent la peignent plutôt en gris ! Mais j'ai une sorte d'intuition d'un mieux à venir qui s'appuiera sur des actions individuelles et spontanées des différents acteurs du Pays (je parle bien entendu des gens présents sur le terrain)  qui vont faire mieux que nos manitous malgré les entraves, les "bâtons dans les roues" qu'on leur met sans arrêt pour les empêcher de faire "repartir" le pays .

Qui vivra verra !

Acceptez l'augure d'une bonne année 2014 et préservez votre Santé pour précisément agir au mieux dans le bon sens, d'abord pour vos proches et vous et professionnellement pour le Pays !

dimanche 1 décembre 2013

CRISE: SEXE PAYANT INTERDIT !


les députés élaborent un texte pour pénaliser les clients des prostituées et interdire la pratique. Bien entendu vous percevez comme moi l'urgence extrême à légiférer sur le sujet.... Oui mais ne l'oublions pas nous sommes en crise !
Vous noterez que les articles qui rapportent cette information mettent un “e” à prostitué(e)s, pour faire clairement comprendre qu’il s’agit de prostitution féminine. À se demander si les parlementaires (les hommes sont sur-représentés)  ne seraient pas en majorité homosexuels ce qui expliquerait leur indifférence quant à une règlementation touchant les femmes ! Pour les opposants (hommes toujours), n’en doutons pas, ils sont eux-mêmes clients ! 
Que les femmes soient contre on peut le comprendre surtout dans un contexte d’exploitation des femmes par des souteneurs.
La France  ne reçoit de leçons de personne, c’est bien connu, et  nos politiques sont les “meilleurs”du monde  (mais  je ne vous dirai pas en quoi ). Ils oublient donc que tous les pays qui ont mis en place une forme de prohibition quelle qu’elle soit (alcool, drogue etc...)  ont en fait déplacé le problème sans le résoudre. Les acteurs du marché basculent alors dans la clandestinité, la délinquance devient la règle,  fait tache d’huile, et la sécurité sanitaire se dégrade.
D’un point de vue pratique il vaut donc meux  tolérer, mais sous conditions, ce qui signifie légalisation sous surveillance. On coupe ainsi l’herbe sous le pied des trafiquants et on fait reculer la délinquance.

Je voudrais rappeler qu’en passant la TVA dans le bâtiment de 19,6% à 5,5% le gouvernement a fait reculer significativement le travail au noir devenu financièrement inintéressant et même risqué : 
Pour frauder 5,5% de taxe on risquait de se faire coincer pour fraude à la TVA par le fisc!  Sans travail officialisé impossible d’agir en cas de malfaçon ; et en plus pas de garantie décennale ou autre.... Pour 5,5% cela ne valait pas vraiment le coup !
En pleine crise on repasse le taux à 19,6%. J’imagine que c’est pour permettre aux chômeurs de faire du “black” !  Ce n’est certainement pas pour donner du travail et créer des emplois car les prix vont encore grimper alors que la population taxée a de moins en moins de moyens. Il y aura donc moins de chantiers et le bâtiment va licencier. 
Je referme la parenthèse !

 Pour la prostitution la logique voudrait qu’au nom de la liberté (devise du Pays, quand même ! ) on tolère que les femmes et les hommes qui le souhaitent pratiquent cette activité. Cela va de soi, sous réserve de contrôle médical, de conditions d’hygiène, sans s’afficher sur la voie publique ou dans des vitrines ....
Il y a des décennies que les prostituées femmes réclament un statut, mais en vain. 
L’argument éculé des parlementaires est de dire que c’est contraire à la morale chrétienne, curieux argument dans un pays qui se veut laïc !
Je note au passage que dans toutes les affaires qui “mouillent “ les politiques, celles  de détournement de fonds, de rétrocommissions sur ventes d’armes,  de fausses factures, de corruption passive ou active, de trafic d’influence  etc... Dans toutes ces  affaires donc, vous ne verrez jamais la moindre allusion à la morale !
Pourquoi parler de morale seulement pour la prostitution ?

En pleine crise et alors que l’Etat se plaint de caisses vides, que toutes les prostituées sont couvertes par la CMU  sans cotiser  (ce qui coûte aux régimes  de couverture) alors que le système social manque de recettes on se dem:ande pourquoi  dans un sursaut de “moralité” l’Etat  rejette comme “argent sale “ les milliards de la prostitution ? 
N’en étant pas à une incohérence près l’administration n’oublie pas de prélever sa part en impôt sur le revenu, tout en refusant de reconnaître l’activité officiellement, ce qui lui évite d’avoir à payer ensuite des retraites. Est-ce très moral ce comportement ?
Dans le même temps on n’hésite pas a mettre en vente libre et à taxer l’alcool et le tabac, qui font beaucoup plus de dégâts sur la santé publique !
Je suggère de mettre en place un statut de prostitué(e) avec de réelles surveillances médicales et d’hygiène, de faire cotiser tous les titulaires de ce statut à la sécu et aux caisses de retraites, de les taxer à l’impôt sur le revenu (comme aujourd’hui) et à la TVA. Bien entendu il faudrait faire une chasse impitoyable  au travail non déclaré et aux proxénètes, quitte à doubler ou tripler les peines de prison.
À défaut d’être en accord avec la morale chrétienne, au moins on arrêterait l’hypocrisie actuelle et l’immoralité de l’Etat, tout en apportant un ballon d’oxygène au trésor public ! Pour l’instant cette niche fiscale laisse s’évader de fabuleuses sommes !

 Décider à la place des citoyens que telle chose de leur vie privée est morale et telle autre ne l’est pas, s’analyse  en atteinte à la liberté, mais confirme que la dérive déjà amorcée vers le totalitarisme s’accélère!
Les politiques n’arrêtent pas de seriner qu’il faut responsabiliser les gens.
Alors qu’ils le fassent ! Car le problème de la fréquentation ou non de prostitué(e)s relève de la liberté de chacun ( c’est un acte personnel et privé,  qui n’a en plus pas de conséquences publiques, on n’est pas ici dans le cas d’un conducteur qui peut créer un accident).  Laissons donc l’individu maître de décider, en conscience, d’appliquer ou non  ses propres règles  morales.

Mais j'y songe: ne serait-il pas plus "payant" d'interdire la tarification ?
Les prostituées n'accepteront pas de travailler gratuitement et leurs souteneurs encore moins.  Et tout ce monde là quitterait la France . Etonnant que nos surdoués du parlement n'aient pas eu cette idée. Je suis certains qu'ils nous auraient fait une belle loi !