Coups de gueule surtout, coups de coeur peut-être, quelques délires ou des choses drôles, forcément !
dimanche 20 octobre 2024
BUDGET: PUNITIF ET COMPLICE DES GASPILLAGES. FRANçAIS QUOI !
Un préalable, nécessaire je pense, avant de passer au budget proprement dit.
Enseignement basique en économie, le modèle de Leontief semble totalement absent du cerveau de nos dirigeants politiques, comme s’ils n’avaient fait pas fait d’ études dans leur vie ! Certains sont pourtant énarques ou sortis de grandes écoles…. De là à dire que ce parcours tient plus du lavage de cerveau que de la formation…. Il n’y a qu’un pas !
Bref, ce modèle de Leontief confirme que l’économie est interconnectée, et permet entre autres possibilités de déterminer quel effort il faut faire dans un secteur pour obtenir un développement dans un autre secteur. Par exemple de combien faut-il augmenter la production de crayons papier pour réussir à sortir assez de liberty ships pour soutenir l’effort de guerre (2ème guerre mondiale), combien également de camions en plus pour augmenter cette production etc. On peut ainsi optimiser l’activité économique, sans gaspillage, pour atteindre un objectif.
Petite parenthèse : les promesses d’approvisionner l’Ukraine en munitions n’ont jamais été tenues car nos dirigeants ne sont pas foutus d’utiliser les matrices de Leontief pour organiser l’effort de production…. Grave erreur d’autant que certains politiques n’arrêtent pas de dire que la Russie s’en prendra ensuite à l’Europe.
Le dicton « chacune a le bonhomme qu’elle mérite » était rétorqué aux femmes se plaignant sans arrêt de leur mari, que pourtant elles avaient choisi… Je me dis que cela vaut aussi pour la classe politique dont le niveau s’écroule dramatiquement. Par conséquent « Chaque pays a les politiques qu’il mérite »… Nous sommes donc en tant que français responsables de la nullité des nos dirigeants. Nous aussi sommes nuls dans les choix, alors soit nous nous améliorons, soit nous prenons directement les commandes, et franchement ça ne pourra pas être pire !
Nos chefs ont oublié ce principe fondamental de connexion globale dans l’économie mais aussi dans la fiscalité, et ils ont également oublié le principe de base du comportement d’un chef : « Gouverner c’est Prévoir » .
Ont-ils prévu le manque de médecins et les déserts médicaux, non ! Ont-ils prévu le déficit du nombre des infirmières, non ! Alors pourquoi l’avoir décidé ?
Ce sont eux qui ont décrété depuis des décennies la réduction du nombre de médecins et du nombre d’infirmières. Il était facile d’imaginer que réduire le nombre de praticiens alors que la population continuait d’augmenter, aboutirait inévitablement à un nombre de patients bien trop élevé pour chaque praticien. Même un gamin de primaire comprend qu’un médecin âgé prend sa retraite, pas nos chefs qui n’ont même pas pris la précaution de simuler les conséquences de leur choix dans le temps. Ils ont agi comme les irresponsables qu’ils sont tous, car plein de gouvernements ont eu la possibilité de rectifier l’erreur depuis la faute initiale, bien entendu sans le faire ! Force est de constater qu’ils sont totalement incompétents pour prévoir quoi que ce soit et que d’autre part ils n’ont pas la moindre notion de ce qu’est l’intérêt général. La seule chose qui les intéresse est leur réélection, et c’est d’ailleurs la seule chose qu’ils essaient de prévoir, parfois sans y parvenir tant ils sont nuls. Quant à l’intérêt du pays, pourquoi s’en préoccuper et planifier des choses pour l’avenir alors que leur mandat se termine très vite… Mieux vaut, pensent-ils, laisser cela aux cons qui perdront le pouvoir sur des mesures nécessaires mais impopulaires, en permettant aux irresponsables de reprendre le pouvoir en s’attribuant en cours de mandat les bénéfices des mesures impopulaires prises par leurs adversaires , mesures qui ne s’avèrent efficaces que des années après le choix initial.
L’exemple de l’instruction est significatif. Si personne ne prend de mesures pour empêcher l’effondrement de notre système d’enseignement, qui régresse année par année dans les évaluations mondiales, c’est uniquement parce que toute réforme de fond ne porterait ses fruits que des années après…. Bien après la fin du mandat électif. Alors on ne fait rien… Et ça dure depuis des années !
Malgré tout le problème concerne également la mentalité des français, il n’y a pas qu’un problème d’organisation pratique de l’enseignement, or on ne modifie pas une mentalité par la loi…
Le drame en France c’est que toute la vie économique et politique est truffée de multiples décisions aussi débiles que celle de diminuer le nombre des médecins.
Nos élites nous mentent de façon permanente pendant les campagnes et ne tiennent jamais leurs promesses, d’où en parallèle la défiance de la population à leur égard. Pourtant au départ les électeurs croient toujours ce qu’on leur dit.
Macron avait promis de faire de la politique autrement, mais les « ateliers en marche » faisant remonter les idées du terrain au sommet ont juste fonctionné pendant la campagne d’où le vote massif en sa faveur. En fait il a menti car tout a été bloqué après son élection. Rebelote avec les gilets jaunes (là encore même pas prévus, par les conseillers!) et l’annonce du Grand Débat…. Totalement enterré malgré l’espoir fou généré, les millions de propositions rédigées, et bafouée la promesse de tout publier.
ET LE DEFICIT ?
Là encore rien n’a été prévu. Un gamin qui a quelques pièces d’argent de poche par semaine sait très bien qu’il ne peut pas dépenser plus que ce que ses parents lui donnent. Mais nos gouvernants s’en foutent et continuent de dépenser alors même qu’ils ont baissé certains impôts. Ce faisant ils n’ont pas compris que moins de recettes avec des dépenses constantes ou en hausse aggravait le déficit ? On croit rêver ! C’est totalement criminel car leur laxisme met en péril le contribuable français qui devra payer sur plusieurs générations alors même que les dirigeants auront quitté le pouvoir en vivant grassement et sans assumer la moindre responsabilité de leurs actes. N’oublions pas qu’un ancien président perçoit des avantages en nature et en espèces qui coûtent au pays 1,5 million au moins par an…. C’est cher payé pour un avoir porté préjudice à son pays pour les décennies à venir !
BUDGET
On oublie toujours en France que tout étant lié le PIB est peu variable d’une année sur l’autre. Chacun gagne peu ou prou la même chose et l’activité intérieure en découle. Par conséquent toucher à un élément implique des conséquences sur un autre élément. Augmenter les recettes de l’État sans taxer n’est possible que si le PIB augmente et il ne peut le faire que si de l’argent arrive de l’extérieur : si beaucoup de touristes viennent dépenser leur argent pendant leurs vacances, si beaucoup d’entreprises étrangères investissent en France et créent des emplois, ou si la France réussit à booster ses exportations en vendant beaucoup à l’étranger grâce à une compétitivité de ses prix sur le marché mondial. Il est évident qu’en période de stagnation, le PIB ne bougeant pas, difficile pour l’État d’encaisser plus de recettes… OU alors il faut augmenter les impôts et baisser les dépenses. Nos dirigeants ne pensent qu’à cela ! Sauf que si vous taxez une entreprise elle répercutera sur ses prix et finalement c’est le consommateur qui paiera, si vous taxez une catégorie inévitablement elle va chercher à échapper à l’impôt et l’assiette fiscale va fondre comme neige au soleil, si vous tapez sur la TVA c’est le plus grand nombre qui va souffrir.
Cependant il y a des pistes que nos dirigeants refusent : seraient-ils complices ou alors très nuls ?
« LA » grande spécialité française est en effet le gaspillage des fonds publics (il est notoire que pour gérer le fonctionnement quotidien du pays, nous dépensons 160 milliards de plus que l’Allemagne qui fait bien mieux que nous) !….
Au lieu de chercher à baisser les gaspillages, le choix est de brimer la population… On lui fait payer l’incompétence des chefs, c’est le monde à l’envers. Pourtant un ancien reportage sur la 6 ( Capital ou Enquête Exclusive ou Zone interdite, je ne sais plus) comparait la situation en Belgique et en France. Pour lutter contre la fraude à la TVA (import-Export) la Belgique s’est dotée d’un super-ordinateur (1 million la bête à l’époque), qui analysait en temps réel toutes les transactions passées dans le pays et envoyait immédiatement une équipe de douaniers dès qu’une anomalie était repérée par l’ordi qui éditait un rapport chaque matin. Grâce à cet investissement 80 % de la fraude a été éliminée.
En France l’émission a suivi le parcours d’une équipe de douaniers faisant la chasse aux fraudeurs, ils loupaient souvent de peu l’arrestation. AU fil de l’enquête les douaniers ont baissé les bras car ils avaient abouti à une adresse très en vue (grosse entreprise du CAC 40), et ont préféré stopper sachant que leur hiérarchie leur dirait d’arrêter… On comprend qu’ils ne voulaient pas subir des désagréments comme ceux qui ont frappé les gendarmes honnêtes dont l’enquête à l’arsenal de Toulon mettait en cause de hauts gradés… Seuls les journalistes de l’émission avaient poursuivi l’enquête.
Bref, la France, au lieu de réagir comme la Belgique et de doter l’administration d’un super ordinateur similaire ou plus puissant que celui des belges, a préféré continuer à laisser les fraudeurs lui piquer 10 milliards par an et je parie que c’est toujours le cas (ou bien pire) en 2024 ! Nos dirigeants sont de fait les complices des délinquants et font payer à la collectivité les délits qu’ils refusent purement et simplement de combattre !
Autre exemple : Si vous gardez le souvenir de l’émission Combien ça Coûte, vous savez que bon an mal an tous les gaspillages recensés représentaient bon an mal an 7 ou 8 milliards. Disons qu’avec ceux qui passaient à l’as on arrivait bien plus haut. Je ne m’avance pas trop en disant qu’en 2024 on est au moins à 15 milliards de gaspillage.
Mine de rien, avec ces deux postes on arrive déjà à 25 milliards, alors pourquoi présenter un budget cédant à la facilité : majorer les impôts et diminuer les retraites, réduire les prestations publiques, alors que l’on peut récupérer de l’argent sans nuire à la population.
INTERMEDIAIRES
J’ai d’ailleurs une piste permettant encore d’ économiser : les dépenses d’aides diverses lorsque l’état fait appel à des intermédiaires. Bien entendu il ne s’agit pas de baisser les aides aux bénéficiaires.
On dit qu’en Russie lorsque Poutine a voulu moderniser son armée, chaque fois qu’il injectait 100, l’amélioration effective était de 10. En cause la corruption généralisée, la dilution due aux intermédiaires etc.… Sans aller jusqu’à dire que la France est à ce niveau de gaspillage, le fait de désigner des intermédiaires est une invitation tacite aux réseaux délinquants pour dérober une partie du pactole. Il serait bien plus efficace d’interdire aux entreprises de gérer la phase dossier, et de payer directement le particulier au lieu de l’entreprise, et surtout de conditionner le paiement du chantier à un contrôle préalable de fonctionnement. En effet l’État impose la gestion des dossiers par les entreprises, comme si les français étaient des gamins irresponsables. Les margoulins en profitent pour se faire payer sans faire le travail ou en installant du matériel nul vendu de surcroît au prix fort. Le gouvernement se gargarise de la transition écologique alors qu’en fait rien ne marche, il n’y a pas eu de transition, juste une complicité passive avec le réseau de délinquants qui se gave de nos impôts en toute impunité.
Autre exemple : si réellement on veut baisser les remboursements de consultations de 2,50€. Le bon sens commanderait de faire payer à la sécu 60 % de la consultation comme prévu, de demander à chaque patient de payer lui même en espèces les 2,50€ à sa charge, la mutuelle continuant à régler ce qu’elle paie aujourd’hui. Ainsi on évitait la hausse de tarif…. Plus on est en direct, moins il y a d’intermédiaires, et mieux c’est. On voit en Martinique ce que donne un marché alimentaire avec plus de 10 intermédiaires : C’est quasi 50 % plus cher qu’en France ! Ce n’est pas pour rien que les ventes directes se développent en France !
Les médecins et praticiens auraient à encaisser un tas de pièces de monnaie et après ! Ce serait préférable à une prise en charge par les mutuelles car il est évident que les théoriques 2,50€ transformés en tarif de mutuelle se muent en au moins le double.
Le mécanisme des intermédiaires est quand même bien connu pour majorer les prix , et on l’a constaté avec l’imbécile décision européenne de décréter la concurrence artificielle dans l’énergie. Je dis artificielle car aucun fournisseur n’étant capable de produire assez, on a pondu la règle obligeant EDF à vendre l’électricité nucléaire à ses concurrents pour qu’ils puissent avoir des clients. Le seul point positif dans cette histoire est de permettre l’auto-production aux particuliers ce qui était interdit (ou très difficile) dans le contexte du monopole national.
Avant, sous le monopole, EDF était à la fois le producteur, le gestionnaire de réseau, et le transporteur d’électricité. Son prix intégrait une marge ce qui est normal pour une entreprise.
Avec la concurrence artificielle décrétée on a séparé les activités imposant à EDF de ne plus gérer le transport d’électricité (création de RTE) ni la gestion du réseau (création d’Enedis). Du coup RTE inclut sa marge dans son prix et Enedis fait de même, EDF bien entendu prend aussi sa marge pour la revente. Si vous additionnez le prix du service et la marge dans chaque entreprise vous allez inévitablement avoir un total global des trois entreprises bien supérieur à l’équivalent du total sous le régime du monopole, déjà parce qu’il y a trois marges au lieu d’une seule ! AU passage , RTE et ENEDIS sont des filiales d’EDF à 100 %. Bonjour l’indépendance.
Si on creuse toutes les pistes liées à l’écart franco-allemand dans la gestion du pays, je suis certain qu’on va débusquer de nouveaux gaspillages qui vont s’ajouter aux 25 milliards évoqués ci-dessus et je suis persuadé qu’on arriverait facilement à 50 milliards d’économies, étant entendu qu’il reste encore du chemin jusqu’aux 160 milliards. Ce faisant on ne toucherait pas à la fiscalité, on ne réduirait pas les services publics et on assainirait la gestion collective….
Mais il est si tentant de taxer la multitude, cela rapporte beaucoup et très vite… Donc 99 % de nos dirigeants succombent à cette tentation pour notre grand malheur !
J’ai quand même du mal à avaler la bienveillance étatique et celle des hauts fonctionnaires, à l’égard d’entités que l’on sait fraudeuses et délinquantes mais que l’on ne sanctionne jamais. J’ai ainsi en mémoire la déclaration sous serment du PDG d’une grande banque française face aux sénateurs qui affirmait que jamais il n’y avait eu de mauvaise action commise (Panama papers je crois)….. Alors qu’une des sénatrices de l’assistance avait entre les mains un document qui prouvait le contraire, mais qu’elle n’a pas produit pour éviter à son informateur (signataire du document) d’être viré par le patron en train de mentir… D’autant qu’il n’y aurait pas eu de sanction contre la banque, tout au plus un changement de PDG, et la poursuite des malversations ! C’est fou !
TRAITEMENT VARIABLE
J’en arrive ainsi à une idée d’économie qui ne va pas me faire que des amis !
L’idée est que les fonctionnaires protégés à vie du chômage, retrouvant toujours leur poste après une mise en disponibilité ( pour faire de la politique par exemple), protégés contrairement au privé par une retraite par capitalisation en plus de la légale, et cerise sur le gâteau bénéficiant d’une retraite jamais inférieure à 1325,01€ (contrairement au privé), que ces fonctionnaires donc soient comme les salariés du privé associés à la marche de leur entreprise, c’est à dire au fonctionnement du pays. Ainsi je ne trouverais pas scandaleux de rendre variables leurs rémunérations en cas de crise, vu les privilèges dont ils bénéficient par rapport à la population normale. Et j’ai des arguments !
Il y a en France une masse salariale fonctionnaires de 327,7 milliards pour 5,67 millions d’agents (soit 21 % des travailleurs du pays) soit 57971€ par personne par an. En France il y a en tout 30,1 millions d’actifs dont 88 % de salariés. Ces 26,48 millions de salariés se partagent la masse salariale privée France de 665 Milliards. Ce qui fait par personne et par an 25113€. (Source Internet, Insee, .gouv et autres sites. Vous pouvez le vérifier vous même).
L’ écart est considérable avec la moyenne des fonctionnaires, raison de plus d’appliquer une baisse de rémunération des fonctionnaires pour ceux qui se situent au dessus des 30000€ de moyenne annuelle. Je ne connais pas les détails des rémunérations ni le nombre de bénéficiaires par tranche de rémunération mais je sais que les fonctionnaires du bas de l’échelle sont au même niveau que les salariés privés au SMIC. On pourrait donc imaginer une progressivité selon la tranche annuelle avec, soit un lissage continu ( moins 7,5 % à 30000€, puis moins 7,6 % à 30500€ , puis moins 7,7 % à 31000€ etc. .. Avec un prélèvement mensuel), soit des paliers avec l’inconvénient des seuils (7,5 % de 30000€ à 32000€, puis 8 % de 32001€ à 34000€ etc. .. ) . Je pense que l’état aurait là une possibilité de près de 30 milliards d’économie en temps de crise. Les fonctionnaires hurleraient « au loup » mais retrouveraient leur rémunération dès la crise passée. Le point délicat étant de définir la crise et les critères de mise en place des prélèvements, ainsi que les critères déterminant la fin de crise et le retour à la rémunération normale. Compte tenu de l’écart de rémunération entre public et privé, ce système est quand même équitable compte tenu des privilèges déjà cités et liés au statut fonctionnaire.
On pourrait aussi pratiquer une égalité parfaite avec le régime fonctionnaire aligné sur le régime privé. Mais je n’imagine en effet pas une seconde que les fonctionnaires acceptent l’idée de pouvoir être licenciés (crise, baisse d’activité, faute grave.. Comme dans le privé quoi!), acceptent la suppression de hausse de rémunération à l’ancienneté, acceptent le calcul de retraite sur les 25 meilleures années (au lieu des 6 derniers mois), finalement acceptent l’égalité de traitement entre les citoyens quels qu’ils soient… Alors que c’est la devise de notre pays, mais que tout le monde se bat quand même pour des privilèges spécifiques, et que même le Conseil Constitutionnel valide nombre de lois violant les principes, donc cautionne la discrimination entre les français !
Bref il y a du grain à moudre et beaucoup à faire pour le bien public sans systématiquement taxer la population pour réparer les abus et dérapages des dirigeants. Notez que dans les démocraties modernes en soi-disant copiant la Grèce ancienne, on a soigneusement retiré l’idée de la responsabilité pénale et financière à vie des dirigeants pour les actes réalisés au cours de leur mandat. Scandaleux, même si effectivement il conviendrait d’adapter ce principe fondamental à la République du XXIème siècle. J’ai ma petite idée sur le sujet mais c’est un autres débat que le budget et les économies !
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