samedi 28 mai 2022

STOPPER HARCELEMENT ET AGRESSIONS... C'EST POSSIBLE MAIS...!

Après mûres réflexions, une conclusion... Inattendue, pour résoudre autrement le problème. Texte "ET POURQUOI PAS?" ajouté le 3 Juin 2022 en fin de cet article. Damien Abad..... Nicolas Hulot, DSK, Darmanin, Grivaux etc... Etc... La liste est longue, infinie même et pourtant cela continue. Mais qu'en est-il, le phénomène se développe-t-il à la vitesse grand V ou bien s'agit-il seulement de la découverte d'une réalité mise en évidence par les réseaux sociaux qui auraient en quelque sorte délié les langues ? Comment faire stopper ce problème des agressions et du harcèlement des femmes? Les commentateurs mettent en avant que la parole des femmes est de plus en plus écoutée et concluent qu'à terme le problème disparaîtra avec la crainte masculine des impacts négatifs sur une carrière. Ils encouragent les victimes à porter plainte au moment des faits au lieu d'attendre. Mais il n'est pas facile psychologiquement de porter plainte en sachant que l'écoute est quasi absente, que dans les faits la victime est souvent suspectée par les enquêteurs ce qui est très humiliant, et que d'autre part les preuves sont difficiles à apporter. Alors, en dépit des réalités, peu de plaintes sont enregistrées et surtout très peu aboutissent à une condamnation ce qui décourage les victimes.....Qui en fait sont, par mesure de rétorsion (une sorte de double peine), sanctionnées dans leur carrière et peuvent perdre très gros. Parallèlement les prédateurs savent tout cela et continuent quand même, avec la quasi certitude de l'impunité et en jouant sur leur notoriété pour faire douter l'opinion «quelqu'un de ce niveau de responsabilité ne peut pas se comporter de cette façon, ne peut pas faire des choses pareilles...». En préconisant l'action judiciaire les commentateurs font le jeu des agresseurs. Certes une déclaration verbale n'est pas une preuve, et si elle est fausse elle porte préjudice à un innocent (et la référence est celle de Dominique Baudis traîné à tort dans la boue). Face à une plainte, et sachant qu'il est quasi impossible de prouver les faits, l'accusé en sortira blanchi, du moins dans le système actuel.... Conservera ses responsabilités politiques... Et sévira de plus belle. Respecter la loi et les règles, scrupuleusement, est vertueux, mais face à des gens qui délibérément violent la loi (impunité probable), et face à une justice impuissante, la victime est en position d'infériorité. La solution serait que la médiatisation des faits permette de stopper la carrière du prédateur concerné à la première incartade. Mais l'hypocrisie est telle que les groupes politiques préfèrent nier officiellement les faits (tout en les admettant en privé à mots couverts), et au mieux ils se bornent à demander à l'intéressé de modérer ses ardeurs. Jamais on n'exclut quelqu'un d'un parti pour des faits d'agression ou de harcèlement sexuel. Si on le faisait ce serait radical mais il resterait le danger de déclarations mensongères comme dans l'affaire Baudis. Rien ne se passe donc, c'est le «Wait and See»! Une autre solution consisterait à prouver les faits, ce qui est techniquement possible et faciliterait les condamnations par la Justice, mais au prix de précautions fastidieuses et surtout d'une ambiance de suspicion permanente dans le monde politique. Il suffirait en effet de doter toutes les femmes d'un enregistreur automatique de son, et d'une caméra miniature. Ces appareils existent déjà dans chaque smartphone, mais un smartphone est volumineux et il faut le mettre en route au moment opportun, ce n'est pas très discret. En revanche cachés dans les bijoux, les stylos ou des objets insignifiants, les appareils feraient merveille... Après trois ou quatre affaires ayant permis de piéger des prédateurs puissants, je pense que l'on verrait de moins en moins de cas. Mais quelle galère pour ces dames de devoir vérifier les appareils chaque jour (les micro piles), de devoir transférer le soir les données sur disque dur, et de devoir aussi financer ces appareils (pas franchement donnés). Vous imaginez évidemment la méfiance des hommes sachant que leurs interlocutrices pourraient être équipées, et surtout l'obligation masculine de ne plus se lâcher du tout dans les réunions politiques par peur que les propos enregistrés soient transmis à des adversaires politiques, des pays étrangers ou simplement fuitent dans la presse. C'en serait totalement fini du secret des discussions... Je prends le pari qu'on accuserait les femmes de faire de l'espionnage et que les hommes demanderaient l'interdiction de ces appareils enregistreurs. Il n'empêche que ce système serait diaboliquement efficace contre les harceleurs et violeurs. Mais la vérité est que nous sommes face à une problème d'éducation. Les réseaux sociaux ont permis de mettre en évidence que le vernis social, l'apparence de personne civilisée, est quelque chose de presque virtuel, comme si on apprenait aux enfants à faire toujours semblant de..... Pour mieux masquer la nature profonde et détestable de l'animal non civilisé tapi dans leur cerveau. On le voit encore plus nettement en temps de guerre où le côté civilisé saute très vite et très facilement, comme si détenir une arme était un gage d'impunité rendant le respect des règles sociales inutile puisqu'on est armé! Chez les politiques c'est le pouvoir et la respectabilité liée à la fonction qui fait office d'arme... Cela les conduit à considérer que la loi ne s'applique pas à eux mais seulement à la population. Les exemples pullulent et il faut bien admettre que sur ce point les femmes et les hommes sont à égalité: tous violent la loi si l'envie de le faire les prend (excès de vitesse, usage personnel de biens publics, fiscalité, etc...). Si les enfants étaient réellement éduqués c'est à dire si les principes de vie en société étaient gravés de façon indélébile dans leur esprit, jamais ils ne commettraient l'irréparable. Mais personne ne veut vraiment éduquer ses enfants, d'ailleurs les parents se reportent sur du personnel et sur l'école pour le faire... Alors que le rôle de l'école est seulement d'instruire (elle le fait très mal en plus!) et pas d'éduquer. Les parents fuient ce travail crucial d'éducation soit parce qu'ils travaillent, soit parce qu'ils ne veulent pas le faire, et le peu de temps passé avec les enfants est utilisé pour les porter aux nues et répondre à tous leurs caprices (pas franchement efficace pour poser des limites). Quant au personnel de garde il ne faut pas leur demander davantage que de veiller à la sécurité des enfants, c'est ce pourquoi on les paie. Alors en définitive les enfants s'éduquent seuls par contacts entre eux, ce qui n'est pas la panacée.... Le temps de l'éducation est un temps très long, et recommencer à éduquer correctement les très jeunes ne changerait pas les générations plus âgées. Il faudrait donc plusieurs décennies avant de que le changement ne touche toute la population. Ce n'est pas une raison pour ne rien faire à ce niveau, mais les politiques, obsédés par leur élection (un mandat court) n'ont pas la moindre envie de s'occuper du très long terme car cela n'apporte rien de concret à leur carrière. C'est le paradoxe de notre monde moderne: gouverner c'est prévoir et en toute logique les dirigeants devraient essentiellement se préoccuper de l'évolution d'un pays sur le temps long donc prendre en considération l'intérêt général.... Mais ils ne s'intéressent qu'au temps court de leur mandat et agissent au jour le jour sans discernement (traitant les symptômes et pas les causes) appelant réformes de simples ajustements qui ne changent ni ne règlent rien. Agressions sexuelles et harcèlement pourraient donc cesser... Mais pour l'instant on ne le veut pas ! Du moins chez les politiques. ET POURQUOI PAS ? Oui pourquoi ne pas faire le choix d'une solution très efficace, bien que coûteuse, pour stopper tout harcèlement sexuel.... Il s'agirait d'offrir à chaque élu un «objet défouloir» pour neutraliser toutes les mauvaises pulsions. Des objets variés pour faire face à toutes les éventualités car le harcèlement peut être le fait d'un homme à l'encontre dune femme..... Ou d'un autre homme, le fait d'une femme à l'encontre d'une autre femme ou d'un homme.... Tout les cas sont possibles, et même si on n'en parle pas ils existent! Et la solution consiste à leur offrir une poupée (homme ou femme selon le cas) grandeur nature, éventuellement avec le choix d'un visage célèbre (???), avec peau en silicone à sensation de toucher de peau réelle, et consistance et texture similaires à celles d'un corps réel, cheveux réalistes à coiffer au choix du propriétaire, avec circulation interne de fluide chauffé, un réalisme bluffant du visage et du corps, équipée sexuellement pour des rapports cela va de soi, et même pour les modèles haut de gamme des yeux mobiles et des systèmes électroniques permettant des expressions du visage, l'émission de sons, et etc.... Ce n'est pas irréaliste car les japonais excellent dans la fabrication de ces objets qui peuvent coûter jusque 15000€ ou plus (prix de base à partir de 7000 ou 8000€) et le japon est le pays le plus équipé en la matière.... Il n'est pas rare de voir un propriétaire sortir sa poupée pour une promenade en voiture, la traiter au domicile comme une personne à part entière, la vêtir, la cajoler etc.... Cela peut faire sourire mais c'est une réalité en plein développement. On pourrait donc calmer nos obsédés de France... En y mettant le prix. Il est évident que les élus dotés de ces poupées devraient se borner à assouvir leurs fantasmes sur leur compagne ou compagnon de silicone au lieu de perturber leurs collègues, mais cette mesure serait onéreuse pour le pays car rien qu'au parlement et dans les ministères il faudrait un bon millier de poupées, soit jusque 15 millions d'Euro. Cher pour la collectivité de simplement vouloir contrer les travers sexuels des élus, mais l'homme n'est pas une machine, et c'est le seul moyen cohérent puisque cela fait belle lurette que l'on ne cherche plus à éduquer les gens, et parce que la démocratie directe qui rendrait les «représentants» élus inutiles est totalement rejetée par cette bande de pervers (refus de céder le pouvoir pour ces gens à l'ego démesuré). Je laisse le soin d'imaginer les idoles politiques jouer avec leur poupée plutôt qu'avec leur conjoint, se lâcher complètement et bestialement dans leurs périodes de «crise»... Drôlissime, non?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire