Jacques Benveniste a mis
en évidence l'existence de la mémoire de l'eau dans les années 80.
De chercheur renommé il est devenu un proscrit du monde
scientifique... Curieux comportement d'un milieu qui en principe
travaille de façon rigoureuse (ce que l'on appelle la méthode
scientifique) mais qui choisit parfois la calomnie et l'arbitraire
pour refuser le réalité de faits tangibles et s'attacher à
discréditer un chercheur. J'appelle cela un «contexte galiléen».
Oui, il est vrai que
Jacques Benveniste était sous contrat chez Boiron au moment de sa
découverte, et cette découverte prouvait l'efficacité de
l'homéopathie. D'où la suspicion des scientifiques,: comme s'ils
considéraient que Benveniste se comportait exactement comme eux et
truquait ses résultats... Mais tout le monde n'est pas à la botte
de l'argent !
La plus élémentaire
logique commandait de refaire les mêmes expériences que Benveniste
pour, soit confirmer les résultats, soit les infirmer !
Mais l'acharnement subi
par le chercheur et la mauvaise foi du monde scientifique prouvent
que la découverte gênait tout le monde: il fallait dans l'urgence,
gagner du temps, empêcher le progrès des connaissances et préserver
.de gros intérêts financiers. Idiot en définitive, car la
fameuse découverte n'en était pas une, d'autres personnes l'avaient
déjà faite mais sans le savoir. Tôt ou tard elle devait ressortir
!
Du côté des
scientifiques on rechigne à remettre en question des principes
jusque là «gravés dans le marbre», et il y a une certaine
jalousie des uns envers les autres (un peu comme en politique) sur un
terrain de course à la notoriété (malsaine) qui, chez certains,
fait privilégier la recherche de contrats lucratifs avant l'intérêt
de la science. Cette situation s'est d'ailleurs aggravée avec le
désengagement progressif des Etats dans la recherche, et la
nécessité pour les chercheurs de trouver des financements privés !
Du côté des lobbies
on comprend facilement qu'aucun groupe mondial n'a envie de voir sa
rente de situation réduite à rien après des millions et des
millions d'investissements. On comprend, mais évidemment on ne peut
pas accepter que les gras bénéfices de quelques actionnaires
passent avant la santé des populations ! Il y a aussi de quoi
s'énerver quand on sait que la plupart des chercheurs sont sous la
houlette de financiers et qu'il en résulte une corruption de fait:
personne ne contredit son employeur ni ne veut lui déplaire ! La
recherche est ainsi pourrie par l'argent et surtout le progrès est
bloqué, figé.
De nombreux chercheurs
ont travaillé sur l'eau mettant en évidence des propriétés
inattendues, dont beaucoup sont niées par les scientifiques en dépit
des brevets déposés et des appareils en fonctionnement. Amusant de
voir tourner des systèmes efficaces alors qu'ils sont contraires aux
théories et principes généraux reconnus par la science !
On peut citer notamment
Schauberger, Grander, Brown, Violet etc...
Il est vrai que souvent
les découvertes sont le fait d'ingénieurs, et certains
scientifiques «officiels» détestent que des personnes ayant fait
des études courtes, des personnes qu'ils jugent de ce fait
incompétentes et «inférieures à eux», soient des inventeurs !
L'argument devant les appareils performants est alors de dire c'est
impossible, c'est truqué, c'est de l'arnaque. Pauvres arguments pour
des scientifiques alors que l'utilisateur lui s'en fout, ça
fonctionne et cela lui suffit !
Je donne souvent en
exemple un fait que personne n'explique scientifiquement: en cuisine
lorsque vous faites une crème anglaise, il faut prendre garde à ne
pas trop chauffer la casserole car passé une certaine température
le jaune d'oeuf coagule en grumeaux et la crème est ratée !
L'astuce des
cuisiniers est d'ajouter une petite pincée de farine et la crème ne
coagule plus même si on passe la température critique. Bien entendu
il ne faut pas exagérer et laisser à grand feu sans remuer, mais
personne n'est capable de dire en quoi le demi-gramme de farine
empêche la coagulation de l'oeuf au delà de cette température
normale de coagulation. Il y a ainsi dans tous les domaines des
choses scientifiquement inexpliquées, mais ce n'est pas parce que
personne ne comprend qu'il est interdit de s'en servir !
MEMOIRE DE L'EAU
Pour revenir à la
mémoire de l'eau elle existe, c'est certain, et la preuve a été
apportée par Grander qui a fait analyser de l'eau traitée par ondes
électromagnétiques. La composition chimique n'est pas altérée
mais c'est l'organisation des molécules qui est modifiée et cette
nouvelle structure persiste. C'est dans ce sens que l'on parle de
mémoire de l'eau: l'eau a gardé la mémoire de «forme» liée à
l'action des ondes sur l'agencement des molécules entre elles. Cela
dit, si vous mélangez cette eau traitée à de l'eau non traitée,
l'eau non traitée prend exactement l'organisation moléculaire de
l'eau traitée.
Schauberger a prouvé
qu'un simple morceau de métal (qui met l'eau en rotation dans un
entonnoir en cuivre) suffit à dépolluer une eau souillée. L'eau
s'oxygène mieux en tourbillonnant et se régénère: c'est un fait,
alors utilisons le !
Pour illustrer par un
exemple autre, un traitement spécifique du plastique ou du métal
confère au produit une mémoire de forme. S'il subit une déformation
il revient à sa forme initiale. On a déjà vu cela dans la
carrosserie de la Rodéo de Renault. C'est plus cher mais très bien
pour le client! Mais plus personne n'achetait de pièces de rechange:
on comprend pourquoi la marque a abandonné cela ! Cette mémoire de
forme d'un solide permet par analogie de comprendre la mémoire de
l'eau apportée par un traitement électromagnétique.
Le Professeur Luc
Montagnier a repris les travaux de Benveniste et a expliqué le
phénomène de mémoire par la création de zones de cohérence
(sphères de molécules d'eau) qui enferment la trace
électromagnétique d'un produit ayant séjourné dans l'eau, même
si le produit a disparu du liquide. Là, on quitte la chimie
moléculaire pour entrer dans la physique quantique .
Et dans l'usage
thérapeutique de cette eau on obtient une réaction identique à
l'action de la molécule de produit actif: le message présent dans
l'eau agit dans l'organisme comme le ferait la molécule réelle. Il
est donc facile à comprendre que traiter une eau par des ondes en
lui imprimant une mémoire électromagnétique d'un produit traitant,
est moins cher que de fabriquer une molécule.... C'est la fin du
trou de la sécu !
Ce que le Professeur
Montagnier ignore c'est que la mémoire de l'eau a été découverte
à la sortie de la guerre par Violet, mais pas en tant que telle. En
fait il a découvert par hasard les effets bénéfiques d'un
traitement électromagnétique donnant des propriétés nouvelles à
l'eau, et avec l'aide du gouvernement il a même fait des expériences
officielles en agriculture puis dans un hôpital français ( Roubaix
1962) avec grand succès dans les deux cas.
Le seul bémol à la
mémoire de l'eau est la durée de son action. Violet a constaté que
cette mémoire disparaissait au bout de trois mois (dans le cadre de
son traitement à lui). Il faudrait vérifier si un traitement comme
celui de Grander par exemple se traduit par une mémoire plus longue
ou pas.
Personnellement je tente
de reproduire le traitement de Violet à partir se son brevet, mais
le brevet ne dit pas tout et je pars un peu dans l'inconnu sur
certaines pièces. Sans parler des tests à effectuer après
traitement pour vérifier si les propriétés nouvelles conférées
par le traitement électromagnétique sont bien présentes, comme
elles l'étaient en 1962 (ce serait la preuve que j'ai bien réalisé
les éléments non décrits dans le brevet).
Un autre procédé,
antique celui-là , est fonctionnel et je le pratique, mais en
l'absence de matériel pour faire des tests je ne peux rien dire. Il
me reste à envoyer au Professeur Montagnier un peu de cette eau pour
qu'il vérifie une action efficace ou non sur les virus et
bactéries.... Mais honnêtement je pense que l'action doit être
minime, et l'eau utilisable uniquement à titre préventif et non
curatif.
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