mercredi 3 avril 2024

BYE BYE LA FRANCE !

Le dogme de la croissance constante est une hérésie n'en déplaise à nos dirigeants. Si effectivement l'espèce humaine s'est développée de façon constante depuis des temps immémoriaux, on a vérifié que des événements peuvent détruire ce qui apparaît immuable. Ainsi les dinosaures ont-il disparu de la planète. Mais d'autres extinctions de masse se sont produites au cours de la vie géologique de la terre.... Rien n'est donc infini et il faut l'admettre devant des faits avérés au lieu de tergiverser. Les organisations humaines subissent, elles aussi, des revers, et le proverbe boursier « même les arbres les plus hauts n'atteignent jamais le ciel» est là pour rappeler que rien n'est définitif en ce bas monde, le cours des actions ne monte pas indéfiniment les crises boursières en témoignent. Mais si nos chefs sacralisent la croissance c'est uniquement parce qu'ils voient en elle le moyen de maintenir l'existant économique lequel est intimement lié à des engagements pris. Et pour remplir et respecter ces engagements pris, vis à vis de la population, des autres états, d'organismes internationaux, la croissance est présentée comme la seule et unique solution: Sans croissance démographique le système des retraites peut exploser, l'activité économique du pays régresse, sans croissance économique les recettes de l'état baissent et un effondrement des services publics, le chaos social, deviennent possibles. Dans un tel contexte les dettes de l'Etat ne sont plus honorées et on peut en arriver à des extrémités comme la saisie de l'épargne (cas à Chypre) pour non pas redresser la barre mais seulement éviter le pire. On nous dit que «gouverner c'est prévoir» mais force est de constater qu'aucun dirigeant actuel de la planète n'a eu l'idée d'explorer lui-même ou de faire explorer la piste d'un marasme permanent ( ou si vous préférez d'une décroissance constante). Pour des gens qui idolâtrent la croissance et qui ont cette idée de progrès dans leurs gènes c'est une impossibilité que d'envisager l'impensable..... Ils nous mènent donc dans le mur et, pour sauver l'humanité, l'éviction de la totalité de ces fantoches serait salutaire. Ceci n'est pas un fantasme, c'est vraiment quelque chose qui devient concret après les résultats d'une étude de l'université de Washington annonçant le repli de la population mondiale à 6 milliards d'individus à l'horizon 2100. Nos dirigeants savent que la fécondité des femmes diminue et que la natalité baisse mais, perdus dans leur dogme de croissance, la seule réponse de leur part, sans analyser, sans chercher à comprendre les causes, est de dire nous allons relancer les naissances..... Quand on est borné, on est borné ! L'homme étant ce qu'il est c'est à dire égocentrique, méprisant, détruisant tout ce qui l'entoure, cupide, et maintenant se prenant pour le bon dieu car fier de ses trouvailles technologiques dérisoires... Et j'en passe ! L'homme donc, oriente insensiblement l'humanité vers sa disparition totale, dans l'indifférence générale. Il y a déjà un bon moment que l'alerte a été donnée par quelques uns car les dérapages du comportement ont généré une baisse de l'espérance de vie. Maintenant la baisse de fécondité, donc de natalité, enfonce le clou. Selon les projections de l'université de Washington, à l'horizon 2100 la population mondiale pourrait revenir à 6 milliards de terriens. Et alors ? Non seulement on s'en fout mais il convient d'encourager cela. Si 8 milliards d'humains émettent aujourd'hui 38 milliards de tonnes de CO², 6 milliards n'en émettront que 28,5 milliards... C'est donc autant de gagné, et pour une fois bon pour le climat ! Bien entendu les états, ou plutôt leurs dirigeants, s'alarment car la baisse de population parallèlement à son vieillissement (nécessairement s'il y a des naissances au compte-goutte) va totalement enrayer la croissance économique par manque de travailleurs, la catastrophe est en vue ! Et après ? On vivra la décroissance ce n'est pas grave! Cela dit, si la natalité s'effondre dans les pays dits développés, elles va progresser dans les pays pauvres, eh bien, qu'à cela ne tienne, les pays les plus riches devront mettre la main au porte-monnaie pour faire venir des migrants chez eux afin de dorloter leurs vieux, bosser, et payer les retraites. Gouverner c'est prévoir mais pas mal de cons aujourd'hui ne prévoient pas du tout un tel avenir.... Bien au contraire ils veulent empêcher les migrants de venir chez nous, preuve qu'ils n'ont aucun sens de l'intérêt général (ni même de leur intérêt particulier). Parallèlement les pays riches qui aujourd'hui acceptent l'arrivée massive d'étrangers, vont à la fois préserver leur avenir économique, lutter contre la baisse de leur population et même relancer la natalité en berne grâce aux nouveaux venus. En 2050 ce seront les «rois du pétrole» tandis que les pays aux mains d'abrutis comprendront trop tard que l'isolationnisme les a menés vers le sous-développement et la pauvreté. Interdire l'entrée de migrants en France et même expulser des français d'origine étrangère, c'est planifier à l'horizon 2060-2080 la misère de nos jeunes et de leurs enfants, dont personne ne pourra payer les retraites, tout en les mettant dans l'obligation d'émigrer vers les pays riches où ils trouveront travail, bien-être et sécurité. BYE BYE LA FRANCE PROSPERE ET C'EST POUR BIENTOT ! ANNEXE Facteurs de baisse de l'espérance de vie et de la natalité. L'urbanisation a fait quitter la nature aux hommes modernes, et en utilisant de moins en moins leurs capacités sensorielles ils contribuent à les affaiblir. Or en biologie une fonction non utilisée se réduit puis disparaît, alors qu'une fonction sollicitée se développe. Il y a 2000 ans tout le monde avait des dents de sagesse mais en 2023 certaines personnes n'en ont plus... La vie urbaine a réduit considérablement l'usage de la vision de loin et le nombre d'enfants portant des lunettes a considérablement augmenté en à peine 5 décennies. L'usage des écrans a multiplié les pathologies de la vision. Trop d'écouteurs, du son trop fort dans les concerts etc... Et l'audition maltraitée génère des problèmes de surdité précoce chez de plus en plus de personnes.... Les ondes électromagnétiques ont parmi les effets pervers l'inhibition de la fonction reproductive ( les militaires américains l'ont repéré les premiers et retiré au maximum les hommes des services de transmission pour les remplacer par des femmes... Pourtant elles sont certainement impactées!). Le Sida, les MST, l'usage de la pilule, des préservatifs, l'IVG, ont à l'évidence joué un rôle dans la baisse de natalité (quasiment plus de naissances non désirées). La pollution généralisée de la planète par les produits non traités par les stations d'épuration (médicaments par exemple* mais aussi pesticides, produits d'entretien de plus en plus concentrés etc...) impacte la chaîne alimentaire et revient dans nos assiettes. Les perturbateurs endocriniens présents dans les produits industriels et tous les autres poisons, impunément rejetés ou utilisés (dont les déchets nucléaires en remblai de routes, parkings, et même lotissements. Voir reportages des chaînes du service public), et bien évidemment tout l'agro-alimentaire qui nous submerge d'additifs dangereux, de produits frelatés, infectés etc... Sont autant de choses qui nuisent à la bonne santé de tous. Ce n'est pas un hasard si les cancers touchent un public de plus en plus jeune, si les nouveaux comportements induisent des maladies de plus en plus fréquentes et incurables, si les jeunes par leur addiction aux choses virtuelles délaissent le réel, et même perdent leur libido, quand il ne s'agit pas pour eux de fuir les plaisirs charnels. Rien d'étonnant à ce que l'espérance de vie régresse, à ce que la natalité baisse dans ce monde incertain où le fake généralisé dans tous les aspects de la vie freine radicalement l'envie de faire des enfants.... L'ambiance sociale de plus en plus tournée vers l'individu et de moins en moins vers le vivre ensemble n'aidant pas non plus à faire des bébés, perçus davantage comme des charges et des empêcheurs de vivre (dans le virtuel) que comme une joie. *Un médicament consommé est en partie rejeté par l'organisme (tout n'est pas absorbé). Les doses même infimes, qui seraient sans effet direct sur l'homme, ne peuvent pas être traitées par les stations d'épuration et se retrouvent donc dans la nature. Forcément sur une bactérie, sur le plancton, sur de petits organismes, ces produits chimiques ont une action énorme, ce qui a été vérifié par de nombreuses études scientifiques. Au fil de la chaîne alimentaire elles reviennent dans nos assiettes. C'est ainsi que toute la population est polluée aux PCB, métaux lourds, micro plastiques, perturbateurs endocriniens divers et variés. Sachant que dans la nature les pesticides deviennent des hormones féminines il ne faut pas s'étonner que la capacité des mâles à fabriquer des spermatozoïdes soit très altérée... Et ça ne va pas s'arranger... D'autant que nos grands chefs se préoccupent uniquement de leur élection, s'émeuvent des conflits armés, traitent uniquement mais mal les problèmes économiques, en fait ne gèrent que des problèmes d'argent en oubliant l'essentiel, c'est à dire l'intérêt général de vivre en bonne santé donc sans maladies. Ce dernier problème étant soigneusement évité car il implique comme solution d'assainir l'industrie, d'assainir l'alimentation en généralisant le bio, mais cela ne suffirait pas... En effet une culture en biodynamie suppose de proscrire tout traitement, par conséquent rendre l'homme BIO supposerait l'arrêt total des traitements c'est à dire l'usage des médicaments chimiques qui à long terme impactent notre système immunitaire et l'empêchant de fonctionner par la substitution opérée. Là encore la fonction biologique non utilisée se dégrade. La triste réalité est que c'est l'homme lui-même qui crée incessamment de nouvelles maladies il suffit pour cela de lire la liste des maladies professionnelles et la ventilation des décès (ceux dus au sel, au sucre, à l'air pollué, aux accidents domestiques et autres, aux particules fines, aux médicaments, aux maladies nosocomiales, aux radiations...) qui met en évidence que les causes naturelles de décès sont l'infime minorité. Je reviens à l'homme BIO. Non ne riez pas ! Regardez des poulets de batterie «urbanisés» en énormes populations concentrées en lieux réduits, qui ne voient jamais le jour, qui sont piqués aux antibiotiques vaccins et autres, mais qui malgré tout subissent des épidémies... Et regardez face à eux des poulets de plein air, élevés en bio, sans antibiotiques, sans vaccins ni traitements qui ne sont pas malades.... Songez à ce que vous ingurgitez en produits actifs en mangeant les premiers, que vous n'ingérez pas en mangeant les autres..... Le bio vous préserve et sur 50 ou 60 ans de ce régime (sur tous les aliments) la différence est énorme entre l'homme BIO et l'autre !