Désinformation et
fausses nouvelles plombent le sujet ! Pas d'autre solution, donc,
que de lire sur internet pour trouver les bonnes informations. Car
les déclarations de certains experts (notamment dans l'émission C
dans l'Air) sont des informations partielles. On se demande
d'ailleurs pourquoi un documentaire complet et bien détaillé n'a
pas été diffusé.... Même sur Arte ! Bref. J'ai fini par
comprendre, après y avoir passé pas mal de temps, que comme
beaucoup j'avais des préjugés sur les virus, et pour ceux que cela
intéresse voici un résumé de la «récolte» opérée dans les
articles de la communauté scientifique. J'essaie de ne pas être
trop technique et c'est pourquoi il n'y a pas de copié-collé de ce
qui est publié. Vous pouvez en apprendre plus vous aussi en
cherchant sur la toile (sites généralistes, sites médicaux, thèses
de doctorat, cours de médecine etc...) si les détails
physiologiques et très très techniques vous passionnent.
UN VIRUS N'EST PAS
VIVANT
Il ne mange pas, ne se
reproduit pas que ce soit de façon sexuée ou asexuée, n'a pas de
métabolisme, ne consomme pas d'énergie et n'en produit pas, ne se
déplace pas, ne communique pas. S'il est composé de matériaux du
vivant, puisqu'on trouve chez lui de l'ARN ou de l'ADN, on ne trouve
qu'exceptionnellement les deux en même temps (un être vivant
possède les deux).En milieu favorable il peut, ou pourrait, se
conserver indéfiniment. En fait il est inerte sauf s'il rencontre un
être vivant car des automatismes peuvent alors se mettre en route,
et l'observateur peut alors interpréter cela comme des
manifestations de vie (je dirais plutôt des simulations)... A notre
détriment dans le cas de virus pathogènes !
Selon plusieurs
chercheurs les virus seraient en fait des ensembles de molécules
biologiques, auto-organisées selon les affinités chimiques et
physiques des éléments en présence. Parmi tous les assemblages
aléatoires possibles, certains aboutissent à une structure stable
d'autres à rien. Sans affirmer qu'il s'agit de l'apparition de la
vie, on peut émettre l'hypothèse que les mélanges aléatoires qui
se sont produits dans la «soupe primordiale» ont d'abord généré
les acides aminés, prélude indispensable à l'avènement des êtres
vivants, la poursuite de mélanges de plus en plus élaborés ayant
fini par aboutir à un nombre incroyable de virus, du plus simple au
plus sophistiqué...Puis aux bactéries etc... Etc... Si la terre
est baignée de virus, chaque être vivant héberge un virome tout
comme au niveau des bactéries il héberge un microbiote. Notre
virome étant selon les experts composé de plus de virus que nous
n'avons de cellules dans le corps !
Si j'osais une
analogie, je dirais que le virus est une sorte de robot
physico-chimique, composé d'éléments du vivant, souvent
inactif mais pouvant s'animer lors
de l'entrée en jeu de certains automatismes. L'image bien
qu'imparfaite donne une idée quand même. Ce serait un peu comme
un thermostat neuf qui, inerte dans le stock d'un fabricant,
devient actif lorsqu'il est intégré dans une machine (sauf que
l'intégration du thermostat est un geste délibéré, tandis que
l'arrivée d'un virus est aléatoire). Si le thermostat est branché
seulement sur un voyant il ne fait que signaler sa présence mais
n'influe pas sur le fonctionnement de son hôte (ce serait le cas du
virus dans un porteur sain: on peut le détecter mais il n'agit
pas)... Si le thermostat est branché il devient un organe de
commande de la machine. Actif, il produit donc un symptôme: par
exemple le moteur se met en marche ou s'arrête ( ce que font les
virus installés à vie dans notre corps en générant des symptômes,
soit de façon intermittente comme dans le cas de l'herpès labial,
soit de façon permanente comme pour un cancer). Lorsque le virus se
trouve en contact avec les éléments
biologiques vivants de la cellule parasitée . La cellule
réplique le matériel génétique du virus comme s'il s'agissait de
ses propres éléments. L'infection se propage alors !
Tout cela fonctionne
aléatoirement dans le monde innombrable des virus, car si pour
l'instant on a détecté environ 200 virus très pathogènes il en
existe plein qui ne le sont pas (pour nous, mais qui peuvent l'être
pour d'autres animaux, des plantes, des bactéries et même d'autres
virus...).
Et comment ça marche?
Encore une analogie, celle de l'aimant: un aimant va attirer du
fer, mais n'influera ni sur le bois, ni sur l'aluminium, le
plastique, l'inox, etc... De la même façon une règle en plastique
frottée sur un pull va attirer du papier mais pas du bois etc... Le
virus est donc attiré par les cellules dont la surface a une
affinité chimique pour les molécules chimiques de l'extérieur de
sa coque (sa capside). Une fois collé à la surface de la cellule,
de nouvelles réactions se produisent, selon plusieurs schémas
possibles, et s'enchaînent en un pas à pas qui permet finalement
la. pénétration dans la cellule hôte. D'automatisme en automatisme
(un peu comme un relais électromécanique qui avance pas à pas
et commande une nouvelle action à chaque pas) le virus voit sa
coque s'ouvrir et son ARN (ou ADN) est alors dupliqué par la cellule
vivante qui confond ce matériel apporté avec le sien propre. La
progression de l'infection par les nouveaux virus fabriqués peut
alors se poursuivre. Tout cela est très schématique mais donne une
idée grossière de ce qui se passe dans les faits.
Ce qui fait peur là
dedans c'est que nous sommes très vulnérables car il n'y a aucune
notion d'agression délibérée (encore une fois le virus n'est
qu'une sorte de robot), l'infection est le fruit du hasard, du
contexte environnemental, et du contexte physiologique de l'éventuel
hôte du virus. Il faut aussi intégrer que les virus ne se
déplacent pas mais sont tributaires du milieu. A nous de les fuir ou
de faire en sorte qu'ils ne puissent pas nous atteindre en usant d'
un subterfuge, d'une plante, d'un animal etc... Pour y parvenir, les
recettes sont les mesures barrières, la destruction préventive du
virus par les UV, le chlore (cas dans les systèmes d'adduction
d'eau), l'alcool, la chaleur. Après pénétration dans un organisme,
les médicaments anti-viraux peuvent agir, mais le mieux est d'être
protégé par les réactions inflammatoires et les anticorps de nos
défenses immunitaires (c'est là qu'intervient le vaccin qui
prévient en quelque sorte l'organisme d'une possibilité d'infection
et permet la fabrication de ces anticorps très rapidement).
Le
Coronavirus est une affection virale généralement bénigne (dans
plus de 98% des cas) mais il se produit chez certaines personnes une
réaction de défense pouvant mener au décès. Les médecins
appellent ces réactions «l'orage immunitaire» qui détruit le
corps (davantage que les lésions virales effectives). Pour vous
permettre de visualiser cet orage et ses conséquences dévastatrices,
sachez que c'est le même phénomène qui intervient lorsqu'une
piqûre de guêpe, la consommation de coquillages, d'arachides etc...
provoquent une allergie disproportionnée où les défenses se
retournent contre les cellules du corps en les considérant comme des
agresseurs ce qui peut aller jusqu'à la mort de la personne.
Les
médias nous disent que dans 98% des cas la maladie est bénigne et
passe en quelques jours avec du repos (comme le fait un simple
rhume). Remarque: nous ne sommes pas égaux devant les virus,
certains ont de bonnes défenses qui veillent, d'autres ne les ont
pas et deviennent des cas graves. Personne n'ayant été vacciné (
Covid 19 est une affection inconnue), c'est la preuve que nous
pouvons creuser la piste de l'immunité boostée. Mais les
scientifiques ne choisissent pas cette voie...
On
nous a également répété que la mortalité survient dans 2% des
cas mais je pense que c'est beaucoup moins. J'utilise ce pourcentage
officiel pour évaluer le nombre de cas réels dans la population.
Comme nous approchons des 20000 morts à la date du 20 Avril 2020, je
calcule que 100% font 50 fois plus, et dans ce cas 1 million de
malades. Mais ma conviction est que le pourcentage de décès
représente 1% ou même 0,5% ce qui ferait de 2 à 4 millions de
personnes touchées en France. Comme on ne teste pas la totalité
des français on ignore le nombre de porteurs sains, sans le moindre
symptôme. La seule donnée sur ce problème de diffusion du virus
provient des tests italiens sur deux villages où le résultat
indique de 40 à 50% de personnes infectées.....
AGIR
CONTRE
Sans être médecin je
ne peux m'appuyer que sur la logique des informations recueillies.
Logiquement le virus est en position défavorable vis à vis d'un
hôte potentiel:
1/ avant de nous
atteindre lorsqu'il est en milieu ouvert: donc
empêchons-le de nous atteindre (désinfection préventive,
gestes barrières, test des personnes à risques, confinement,
etc...),
2/ lorsqu'il infecte
une autre personne: les
solutions sont quasiment les mêmes que dans le cas précédent,
s'il nous atteint, il
est en position défavorable:
1/ avant de se fixer
sur une cellule nous avons
besoin d'une immunité efficace qui le neutralise vite, ou
d'utiliser un antiviral (s'il en existe). Mais un vaccin faciliterait
la tâche de notre organisme en permettant une fabrication plus
rapide des anticorps.
2/ Fixé sur une
cellule avant d'y pénétrer:
les remèdes sont en gros ceux du cas ci-dessus
Une
fois que la cellule a été pénétrée c'est le virus qui est en
position favorable et c'est le malade qui subit. C'est ce qui,
j'imagine, nous donne les cas les plus graves et provoque la
saturation du système de santé.
En cas d'orage
immunitaire, le mal est déjà fait et on ne lutte plus contre le
virus: il faut prendre des produits qui freinent les réactions
allergiques potentiellement mortelles, tout en combattant les
symptômes dus au virus pour maintenir le malade en vie.
EN GUISE DE CONCLUSION
La meilleure des
solutions serait de rayer de la planète le virus. Impossible à
réaliser.... Actuellement, pour éviter un renouvellement le
plus urgent est de protéger les personnes fragiles (celles à
l'immunité peu performante), donc de les identifier, et de créer
un vaccin. Je crois beaucoup moins aux antiviraux. Ensuite, comme
gouverner c'est prévoir (en principe seulement) il
conviendrait de renforcer notre système de santé pour éviter sa
saturation rapide, et de mette à disposition de tous des accessoires
élémentaires de défense (masques, tests etc...). Mais à terme
la meilleure solution serait de renforcer l'immunité générale(
nous sommes capables de la détériorer chez certains individus, donc
nous sommes capables de comprendre pourquoi, et par conséquent de
mettre en place les conditions de sa régénération). Il faut savoir
que les scientifiques sont en admiration devant les quelques
animaux (dont un rongeur africain) qui résistent à toutes les
bactéries et à tous les virus, et que quelques équipes
étudient cela. Malheureusement ce n'est pas une piste favorisée
pour la très simple raison qu'il est plus rentable de trouver un
remède ou un vaccin, ce qui génère des profits, que de doter
chacun, par les moyens naturels appropriés, d' une immunité
universelle infaillible... Ce qui mettrait en faillite la totalité
des laboratoires. Malgré l'évolution et les progrès
technologiques, l'homme conserve toujours ses travers dont la
cupidité !
Depuis Pasteur, on
nous martèle que virus et bactéries nous agressent délibérément
(c'est mieux quand c'est la faute de l'autre), détestable habitude
de désigner un bouc émissaire! En réalité la faute incombe le
plus souvent à l'humanité qui offre à ces indésirables un milieu
et des conditions dont ils sont friands (l'homme va toujours vers le
plus facile, il n'est pas le seul!)... Homo Sapiens n'étant pas
LE centre d'interêt de l'univers, un peu d'humilité ne nous
ferait pas de mal, d'autant qu'admettre ses erreurs permet à
quelqu'un de progresser plus vite et mieux. Il devient très urgent
que l'humanité remette en question son approche sur bien des points
et cesse de se prendre pour Dieu dans tout ce qu'elle entreprend, alors qu'elle est plutôt
le virus destructeur de sa propre planète !